Billets de blogue

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Lumières, caméra, action! La création simplifiée de médias en classe

Matthew Johnson

Depuis près de 30 ans, les enseignants canadiens encouragent les élèves à aller sur Internet et les préparent à utiliser les technologies réseautées de façon sécuritaire, productive et responsable. Bon nombre de jeunes Canadiens font leur première expérience d’Internet en classe et à la bibliothèque de leur école. Cependant, au cours de la dernière décennie, alors que les outils numériques nous ont offert de nouvelles possibilités de créer et de distribuer du contenu numérique, les recherches de HabiloMédias démontrent que la plupart des enseignants canadiens ne créent pas de médias en classe.

L’éducation aux médias devrait commencer tôt et durer toute la vie

Il est facile d’excuser les parents qui croient que les enfants d’aujourd’hui connaissent à fond les médias depuis leur tout jeune âge. Les enfants sont médiatisés, c’est certain, même avant leur naissance : Elsa et Elmo sont présents sous une forme ou une autre dans presque toutes les fêtes prénatales. En ce qui concerne la littératie numérique, les enfants s’adaptent aux appareils numériques aussi facilement que les canards à l’eau, devenant rapidement des experts pour trouver les vidéos et les jeux qu’ils veulent.

Les pirates du web ne sont pas toujours ceux qu’on pense

Marie-Josée ArchambaultL’automne dernier, l’Homme de la maison a entrepris d’activer la vérification de sécurité à plusieurs facteurs sur nos courriels afin qu’en cas de tentative de fraudes de nos comptes, nous puissions en être avertis le plus tôt possible. Une action toute simple, semble-t-il, à l’efficacité démontrée, et que les spécialistes en sécurité nous conseillent d’ailleurs vivement.

Les écrans au temps du coronavirus

Marie-Josée ArchambaultL’une des grandes constatations de ce grand confinement que nous vivons tous en ce moment, c’est que si la gestion du temps d’écran familial était tout un défi pour les parents en temps normal «Avant-Covid», ce n’est devenu rien de moins qu’un challenge en temps de pandémie. À la limite, un combat peut être perdu d’avance alors qu’un retour à la norme n’est visiblement pas pour demain!

Les jeunes Canadiens s’expriment : Une recherche qualitative sur la protection de la vie privée et le consentement

Les ados avertis promulguent la clarté pour tous

Nous l’avons tous fait : défiler tout un mur de texte jusqu’au bouton « J’accepte » sans vraiment comprendre ce à quoi nous avions consenti. Puis, lorsque nous utilisons la plateforme, des messages comme « Nous avons apporté des changements à nos conditions d’utilisation » nous rappellent simplement que nous ne les avions probablement pas lues en premier lieu. Notre monde est de plus en plus influencé par les données qui sont recueillies à notre sujet. Pour les jeunes en particulier, des conséquences graves et inattendues pourraient avoir un impact pendant leur vie entière.

Les médias sociaux et le temps d’écran durant une pandémie

Lynn Jatania

Nous vivons des moments étranges et emplis d’incertitude. Déjà, en tant que parents, nous cherchons à trouver les bonnes règles quant à l’utilisation des écrans et des médias sociaux. Mais maintenant que nous sommes confrontés à une quarantaine prolongée et à la distanciation sociale, les règles s’assouplissent et changent chaque jour.

La journée mondiale sans cellulaire, à go on débranche

Parfois je me dis que le monde a bien changé depuis mon adolescence. Lorsque je regarde mon ado, aujourd’hui âgé de 13 ans, perpétuellement connecté à son téléphone, comme si celui-ci lui était greffé à la main, il m’arrive d’avoir l’impression que mille ans nous séparent (minimum comme dirait l’autre!)

L’estime de soi à l’époque des avatars

Je lisais récemment qu’Instagram était désormais considéré comme ayant le potentiel d’aggraver les troubles de l’apparence. Au point ou de nos jours, certains troubles allant jusqu’à la dysmorphie semblent désormais diagnostiqués de plus en plus fréquemment dans les cabinets de médecin. Un trouble qui selon cet article de Slate, toucherait dans les faits jusqu’à 1 à 2,4% de la population.