Dans cette leçon, les élèves se penchent sur la façon dont les médias sociaux peuvent les inciter à se comparer aux autres, de même que sur les conséquences que cette comparaison peut avoir sur leur image corporelle et leur estime de soi. Ils analysent comment les fonctionnalités, les algorithmes, et la culture des réseaux sociaux qu’ils utilisent peuvent les influencer. Ils produiront des « prototypes papier » d’applications de médias sociaux repensées qui favorisent une utilisation plus saine. Enfin, les élèves réfléchiront à la façon dont ils peuvent adapter leur utilisation des applications existantes pour qu’elles ressemblent davantage à leurs versions repensées.

Les médias numériques, en particulier les réseaux sociaux et le jeu vidéo, tiennent une place toujours croissante dans la vie de nos enfants et de nos jeunes. Et même lorsqu’ils consomment d’autres médias comme la télévision, la musique et le cinéma, ils le font souvent via Internet. Par ailleurs, on retrouve une page Web, un univers virtuel, des jeux vidéo ou d’autres sous-produits numériques gravitant autour de la plupart des médias qu’ils consomment – partant du simple jouet à l’émission télévisuelle.

This printable activity sheet introduces basic media literacy skills and concepts and is suitable for use in homes, schools and libraries. It can be completed independently, but children will learn more if you discuss the activity with them. Younger children may need help reading the instructions and completing the activity. 

HabiloMédias vient de terminer un autre projet de recherche qui s’intitule Plateformes et signalements : les jeunes Canadiens évaluent les efforts de lutte contre la désinformation. Ce projet a permis à des jeunes de partout au Canada d’examiner et d’évaluer les processus de signalement sur des applications de médias sociaux populaires (comme Instagram, TikTok, Twitter et YouTube). Nous voulions en savoir plus sur ce que les jeunes pensent des efforts actuels pour lutter contre la désinformation et la mésinformation, ainsi que sur les solutions qu’ils pourraient proposer pour lutter contre ce type de préjudices en ligne. Pour ce faire, nous avons animé trois groupes de discussion auprès de 36 jeunes âgés de 16 à 29 ans. Nous leur avons demandé à quelle fréquence ils voyaient de la désinformation et de la mésinformation en ligne, ce qu’ils faisaient pour y remédier, et s’ils faisaient confiance aux plateformes pour les tenir informés et assurer leur sécurité lorsqu’ils naviguent en ligne et partagent des informations.

Une histoire de princesse - Activité à imprimer 

A Princess Story - thumbnailCette fiche d’activité imprimable présente les compétences et les concepts de base de l’éducation aux médias et peut être utilisée à la maison, à l

J’ai des adolescents, mais jusqu’à tout récemment, ils n’avaient pas de comptes de médias sociaux (quoique je suppose que Discord peut compter comme tel).

Par le passé, ils ne s’y intéressaient pas vraiment, si ce n’est quelques demandes pour Snapchat et Instagram qui ont disparu presque aussi vite qu’elles ont été mentionnées. Mais récemment, mon aîné m’a de nouveau posé des questions au sujet d’Instagram et, au fil des conversations, le moment d’y acquiescer semblait logique.

Tu as vu une fausse info? 

Que cette info soit un malentendu ou une exagération ou même un mensonge, la manière de répondre fait toute la différence. 

Fais partie de la solution. Dis quelque chose! 

Des études ont démontré que de communiquer un consensus scientifique sur un sujet donné peut constituer une stratégie utile dans la lutte contre la désinformation. Par exemple, une étude menée en 2015 révèle qu’un message favorable à la vaccination est plus susceptible d’être efficace s’il met l’accent sur le consensus médical concernant la sécurité des vaccins administrés aux enfants.

Après deux ans de pandémie COVID-19, il est plus évident que jamais que d'attaquer la question de la désinformation sur la COVID-19 devra se faire sous tous les angles possibles. Nous avons eu besoin de voix de confiance pour transmettre des messages forts, clairs et partageables dans les médias sociaux.

Matthew JohnsonVoici Sasha. À 8 ans, elle est déjà très sociable, tant en ligne que hors ligne, et se préoccupe beaucoup de la façon dont le monde la voit : elle passe beaucoup de temps à s’assurer qu’elle est belle sur les photos en ligne, mais ne réfléchit pas toujours deux fois aux gens qui pourraient voir ces photos. Violet, la grande sœur de Sasha, est tout à l’opposé : elle est une joueuse inconditionnelle, tout aussi coriace que son « Barbare » du niveau 65. Bien qu’elle désespère parfois de sa sœur, Violet protège aussi farouchement sa sœur et déchaînera une grande colère contre quiconque s’en prend à Sasha.