• Les médias sociaux affecteront-ils les perspectives d’emploi des adolescents?

    J’ai des adolescents, mais jusqu’à tout récemment, ils n’avaient pas de comptes de médias sociaux (quoique je suppose que Discord peut compter comme tel).

    Par le passé, ils ne s’y intéressaient pas vraiment, si ce n’est quelques demandes pour Snapchat et Instagram qui ont disparu presque aussi vite qu’elles ont été mentionnées. Mais récemment, mon aîné m’a de nouveau posé des questions au sujet d’Instagram et, au fil des conversations, le moment d’y acquiescer semblait logique.

  • Les fêtes en co-visionnement : Gérer les classiques problématiques

    Plusieurs familles ont des traditions médias pendant les fêtes – que ce soit le visionnement du Petit renne au nez rouge ou un tournoi Mario Kart pour le Jour de l’an.  C’est une belle occasion de faire des activités médias en famille et de faire du co-visionnement avec les enfants.  D’ailleurs, ces films nécessitent quasiment le co-visionnement : que ce soit La vie est belle, Nez Rouge ou Piège de Crystal (Die Hard), les chances sont que si vous visionnez quelque chose d’approprié pour l’âge de vos enfants, vous verrez un éventuellement un portrait inconfortable.  Serait-ce une représentation stéréotypée dans un dessin animé, une scène qui romantise un traqueur ou encore un autre film pour enfant avec un seul personnage féminin.  Quoi dire?  La bonne nouvelle, c’est que ce n’est pas du neuf pour les enfants.

  • Dans le bain de la pornographie en ligne dès l’adolescence

    Il y a quelques temps, je suis tombée sur un vieil article de L’Actualité qui m’a jetée par terre. Dans celui-ci, on nous apprenait que 40% des adolescents de 14-15 ans – parfois aussi tôt qu’à partir de douze ans - consommaient de la pornographie en ligne. Bien sûr, l’article date. Mais en cherchant sur le web, je suis facilement arrivée sur d’autres articles – celui de The Conversation d’avril dernier notamment – qui évoquaient la même réalité.

  • La pandémie a-t-elle changé notre rapport aux médias?

    On dit que l’avenir se présente lorsqu’on s’y attend le moins. À l’occasion de la Semaine éducation médias, nous réfléchissons à la façon dont la pandémie a changé notre rapport aux médias et à autrui. Certes, il y a quelques années, peu d’entre nous aurions pu imaginer que nous passerions une bonne partie de notre vie à avoir des conversations vidéo, lesquelles étaient alors considérées comme obsolètes et principalement utilisées pour garder contact avec des amis et des membres de la famille éloignés.

  • Des jeux d’enfants?

    C’est littéralement le phénomène de l’heure, n’ayons pas peur des mots! Car il faudrait vraiment vivre dans une grotte je pense pour ne pas en avoir entendu parler! «Squid Games», «Un deux trois soleil» ou «Le jeu du calmar» trois appellations pour parler du même succès planétaire qui sévit actuellement sur nos écrans. Plus précisément, cette émission de Netflix, concept importé de Corée, et qui a envahi les écrans (et l’espace public) du monde entier du jour au lendemain, me semble-t ’il. 

  • La nétiquette à l’heure de la pandémie

    Marie-Josée ArchambaultCe qu’il y a de fascinant avec l’adolescence je trouve – celle de nos ados en particulier, parce qu’en tant que parent, on est amené à l’observer de près – c’est qu’une situation qu’on pensait sous contrôle une journée peut s’avérer nécessiter certains ajustements du jour au lendemain. Aussi, je pense que d’avoir un adolescent à la maison, c’est un peu avoir cet immense privilège de voir en direct et à la seconde précise ce moment venu d’aborder certaines questions précises avec notre adolescent.

  • Le numérique à l’image d’un jeu de serpents et échelles

    Marie-Josée ArchambaultÊtre parent d’un adolescent par les temps qui courent, je serais tentée de dire que ce n’est rien de moins qu’un jeu de serpents et échelles. Je me dis parfois que c’est facile de perdre pied. Parce que ce qui nous semblait relever de l’évidence il y a quelques mois en termes de bons usages à transmettre est en train, je pense, de devenir un peu obsolète.

  • L’éducation aux médias devrait commencer tôt et durer toute la vie

    Il est facile d’excuser les parents qui croient que les enfants d’aujourd’hui connaissent à fond les médias depuis leur tout jeune âge. Les enfants sont médiatisés, c’est certain, même avant leur naissance : Elsa et Elmo sont présents sous une forme ou une autre dans presque toutes les fêtes prénatales. En ce qui concerne la littératie numérique, les enfants s’adaptent aux appareils numériques aussi facilement que les canards à l’eau, devenant rapidement des experts pour trouver les vidéos et les jeux qu’ils veulent.