Blogue

Vous aimez lire notre blogue ? Alors soutenez HabiloMédias en faisant un don, même modeste, exonéré d’impôts, afin que nous puissions tenir nos ressources en éducation aux médias à jour, et sans droit de copie, pour votre usage à la maison, dans les écoles et les communautés.

Par Samantha McAleese, associée de recherche chez HabiloMédias et
David Fowler, vice-président en marketing et communications de l’ACEI.

Parfois je me dis que le monde a bien changé depuis mon adolescence. Lorsque je regarde mon ado, aujourd’hui âgé de 13 ans, perpétuellement connecté à son téléphone, comme si celui-ci lui était greffé à la main, il m’arrive d’avoir l’impression que mille ans nous séparent (minimum comme dirait l’autre!)

Je lisais récemment qu’Instagram était désormais considéré comme ayant le potentiel d’aggraver les troubles de l’apparence. Au point ou de nos jours, certains troubles allant jusqu’à la dysmorphie semblent désormais diagnostiqués de plus en plus fréquemment dans les cabinets de médecin. Un trouble qui selon cet article de Slate, toucherait dans les faits jusqu’à 1 à 2,4% de la population.

À ses balbutiements, Internet était souvent considéré comme un marché libre d’idées où les opinions et les réflexions de tous pouvaient être partagées et rivaliser sur un pied d’égalité. Aujourd’hui, il s’agit d’un outil essentiel pour accéder à de l’information et à des services, mais sa valeur comme instrument d’engagement civique et de débat a, à de nombreux égards, diminué.

Mon Dieu! Je suis à un cheveu de croire que j’ai un réel problème d’alignement de mes chakras !

Pages