Lynn Jatania

Nous vivons des moments étranges et emplis d’incertitude. Déjà, en tant que parents, nous cherchons à trouver les bonnes règles quant à l’utilisation des écrans et des médias sociaux. Mais maintenant que nous sommes confrontés à une quarantaine prolongée et à la distanciation sociale, les règles s’assouplissent et changent chaque jour.

Marie-Josée ArchambaultOn en parle énormément depuis quelque temps. Ces nouvelles qui, sous des apparences de légitimité, sont en fait ce qu’on en est venu à qualifier d’infox.

Ou Fake News pour les intimes.

Par Samantha McAleese, associée de recherche chez HabiloMédias et
David Fowler, vice-président en marketing et communications de l’ACEI.

Parfois je me dis que le monde a bien changé depuis mon adolescence. Lorsque je regarde mon ado, aujourd’hui âgé de 13 ans, perpétuellement connecté à son téléphone, comme si celui-ci lui était greffé à la main, il m’arrive d’avoir l’impression que mille ans nous séparent (minimum comme dirait l’autre!)

Je lisais récemment qu’Instagram était désormais considéré comme ayant le potentiel d’aggraver les troubles de l’apparence. Au point ou de nos jours, certains troubles allant jusqu’à la dysmorphie semblent désormais diagnostiqués de plus en plus fréquemment dans les cabinets de médecin. Un trouble qui selon cet article de Slate, toucherait dans les faits jusqu’à 1 à 2,4% de la population.

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