Les Fake News et ce qu'on partage en ligne
On en parle énormément depuis quelque temps. Ces nouvelles qui, sous des apparences de légitimité, sont en fait ce qu’on en est venu à qualifier d’infox.
Ou Fake News pour les intimes.
On en parle énormément depuis quelque temps. Ces nouvelles qui, sous des apparences de légitimité, sont en fait ce qu’on en est venu à qualifier d’infox.
Ou Fake News pour les intimes.
Par Samantha McAleese, associée de recherche chez HabiloMédias et
David Fowler, vice-président en marketing et communications de l’ACEI.
Une journée dans la vie de Jo et Josée est un tutoriel complet sur la cybercitoyenneté qui prépare les élèves de la 6e à la 8e année à gérer tous les défis auxquels ils font face lorsqu’ils utilisent la technologie numérique, de la vie privée en ligne à la cyberintimidation, en passant par l’authentification de ce qui est vrai et faux en ligne.
Ça y est, c’est l’âge : ma fille, 10 ans, veut un compte sur Facebook. Comme plusieurs de ses amies, qui en ont déjà un depuis longtemps. Même si l’âge légal est de 13 ans... La pression est forte. La tentation est grande d’accepter à condition que « tu m’acceptes comme amie et que je vérifie tout ce que tu postes et ce que tu reçois »... Comme cette maman qui surveille les réseaux sociaux de ses enfants à partir de son téléphone cellulaire.
Peu de questions reflètent notre anxiété concernant les jeunes et les médias sociaux comme le sextage. Comme pour les technologies qui remontent au moins au télégraphe, une grande partie de cette anxiété concerne précisément les filles et les femmes, ce qui est logique dans une certaine mesure : bien que les garçons et les filles envoient des sextos à peu près dans les mêmes proportions et que les sextos envoyés par les garçons soient plus susceptibles d’être transférés, il est vrai que la société désapprouve davantage les filles qui envoient des sextos et, par conséquent, que le tort qui leur est fait est plus grand lorsque des sextos qu’elles ont envoyés rejoignent un public plus élargi que prévu.
S’appuyant sur les découvertes de HabiloMédias sur les jeunes et la vie privée tirées de notre recherche Jeunes Canadiens dans un monde branché, notre nouvelle étude qualitative, Partager ou ne pas partager : comment les adolescents gèrent-ils leur vie privée en lien avec le partage de photos sur les médias sociaux, a pour objectif d’examiner le raisonnement privilégié par les adolescents lorsqu’ils partagent des photos en ligne.
Et si un jour l’un de vos enfants décidait de vous poursuivre pour avoir mis en ligne, sur Facebook ou ailleurs, des photos de lui sans son consentement ? Scénario de pure sciences fictions, pourrions-nous penser!
Depuis plus de 25 ans, les enseignants canadiens encouragent les élèves à aller en ligne et les préparent à utiliser Internet de façon sécuritaire, intelligente et responsable. Grâce au programme Rescol des années 1990, de nombreux jeunes canadiens ont eu leurs premières expériences des technologies réseautées dans les classes et les bibliothèques des écoles.
Lorsque vous vous inscrivez à un service sur un site Web ou que vous utilisez une application la première fois, lisez-vous attentivement la politique de confidentialité et les conditions d'utilisation? Ou, comme la plupart d'entre nous, cliquez-vous sur « J'accepte » dès que possible?
Aujourd’hui est La journée du chandail rose, une initiative nationale pour mettre fin à l’intimidation en ligne et hors ligne. Depuis 2007, des Canadiens portent des chandails roses pour montrer leur engagement à mettre fin à l’intimidation sous toutes ses formes.