• L’accès au bon contenu portant sur la science et sur la santé : Trouver et évaluer de l’information portant sur les sciences et la santé

    Deux des plus importants types d'information que nous cherchons en ligne portent sur la santé et les sciences. Comme la plupart d’entre nous ne sommes pas spécialistes de ces sujets, nous dépendons de personnes et d’organismes qui sont experts pour obtenir de l’information de qualité. HabiloMédias a créé des nouvelles ressources pour aider les jeunes et les adultes à trouver et à identifier le bon contenu portant sur la science et la santé en ligne.

  • HabiloMédias et Facebook affrontent les fausses informations dans le cadre d’une nouvelle initiative canadienne

    HabiloMédias s’associe à Facebook Canada pour aider les Canadiens et les Canadiennes à devenir mieux informés à l’ère du numérique. Les fausses informations en ligne ne sont pas un nouveau problème, mais c’est à nous de le combattre. Beaucoup d'entre nous ont besoin de meilleures compétences en recherche, en authentification, et en pensée critique pour trouver des renseignements fiables en ligne et savoir reconnaître les contenus faux ou trompeurs. C’est pourquoi nous avons établi un partenariat avec Facebook pour aider à développer les compétences en authentification de tous les Canadiens et Canadiennes.

  • De l’éthique et de l’empathie à la création et au remixage : offrir la littératie numérique aux années du secondaire

    Depuis plus d’une décennie, HabiloMédias est un chef de file de la littératie numérique au Canada. C’est ce que reflète le cadre élémentaire de littératie numérique que nous avons lancé en 2015. Le cadre Utiliser, comprendre et créer se fonde sur une approche holistique qui reconnaît que les différentes compétences qui composent la littératie numérique ne peuvent pas être entièrement séparées. Le cadre recense six aspects de la littératie numérique qui se chevauchent : éthique et empathie, vie privée et sécurité, trouver et vérifier, santé numérique, sensibilisation des consommateurs, et mobilisation communautaire. 

  • Le vrai du faux ou comment éviter de propager les rumeurs

    Sur Facebook, je suis toujours effarée de voir le nombre de fausses nouvelles et de rumeurs qui circulent. Et je ne parle même pas ici de ces études bidon qui sont légion sur internet! Ces nouvelles qui ont l’air d’être tout à fait scientifiques mais qui la plupart du temps, s’avèrent être du  n’importe quoi.

  • L’apprentissage connecté : Le personnel enseignant et les technologies en réseau dans la classe

    Depuis plus de 25 ans, les enseignants canadiens encouragent les élèves à aller en ligne et les préparent à utiliser Internet de façon sécuritaire, intelligente et responsable. Grâce au programme Rescol des années 1990, de nombreux jeunes canadiens ont eu leurs premières expériences des technologies réseautées dans les classes et les bibliothèques des écoles. 

  • Utiliser, comprendre et créer : Pour un vaste programme canadien de littératie numérique

    Que ce soit pour se préparer au futur marché de l’emploi ou simplement pour gérer les vies qu’ils mènent déjà en ligne, les jeunes Canadiens doivent avoir les compétences nécessaires en matière de littératie numérique. Mais qu’est-ce que la littératie numérique, et comment pouvons-nous nous assurer que tous les jeunes Canadiens acquièrent les compétences numériques dont ils ont besoin?

  • Experts ou amateurs? Jauger les compétences en littératie numérique des jeunes Canadiens

    Cela fait bientôt 15 ans que Mark Prensky a inventé le terme « enfants du numérique » pour décrire les jeunes ayant grandi avec Internet et les médias numériques. En fait, les enfants nés l’année de la publication de son livre sont maintenant au secondaire. Si, pour beaucoup de gens, l’image des jeunes naviguant comme des poissons dans l’eau sur les plateformes numériques persiste – ainsi que celle des adultes, les parents particulièrement, considérés (souvent par eux-mêmes) comme complètement dépassés –, il reste à savoir si cette perception correspond vraiment à la réalité. Les jeunes Canadiens ont-ils réellement des connaissances numériques de base ? Et s’ils ne sont pas des « enfants du numérique » qui acquièrent leurs compétences sans effort par eux-mêmes ou grâce à leurs pairs, les élèves apprennent-ils ce qu’ils ont besoin de savoir de leurs parents ou de leurs professeurs ?