Clique si tu es d’accord
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Depuis plus de 25 ans, les enseignants canadiens encouragent les élèves à aller en ligne et les préparent à utiliser Internet de façon sécuritaire, intelligente et responsable. Grâce au programme Rescol des années 1990, de nombreux jeunes canadiens ont eu leurs premières expériences des technologies réseautées dans les classes et les bibliothèques des écoles.
Ottawa (le 24 mars 2016) – Dans le cadre de son étude continue Jeunes Canadiens dans un monde branché, HabiloMédias, le Centre canadien d’éducation aux médias et de littératie numérique a fait équipe avec la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants (FCE) et ses organisations Membres pour interroger en ligne plus de 4 000 membres du corps enseignant du Canada sur l’utilisation des technologies en classe.
Pour aider à comprendre l’effet que les technologies en réseau ont sur le personnel enseignant et ses pratiques pédagogiques, en 2015, la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants (FCE) s’est associée à HabiloMédias pour sonder 4 043 enseignants et enseignantes, et administrateurs et administratrices scolaires du pays qui travaillent comme enseignantes ou enseignants en classe, de la maternelle à la 12e année. Le sondage avait pour but d’explorer la présence des technologies en réseau dans les salles de classe, l’utilisation faite par le personnel enseignant des technologies en réseau pour soutenir l’apprentissage, la connaissance qu’a le personnel enseignant des technologies en réseau et sa capacité d’en tirer le maximum comme outils d’apprentissage, et les utilisations créatives des technologies en réseau dans les activités d’apprentissage.
OTTAWA… HabiloMédias, le centre canadien d’éducation aux médias et de littératie numérique, et la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants (FCE) ont annoncé aujourd’hui que le thème de la Semaine éducation médias de cette année, qui se déroulera du 31 octobre au 4 novembre 2016, portera sur la création de contenu médiatique par les enfants et les jeunes.
Sur Facebook, je suis toujours effarée de voir le nombre de fausses nouvelles et de rumeurs qui circulent. Et je ne parle même pas ici de ces études bidon qui sont légion sur internet! Ces nouvelles qui ont l’air d’être tout à fait scientifiques mais qui la plupart du temps, s’avèrent être du n’importe quoi.
Contrairement à l’opinion généralement reçue, la cyberintimidation demeure un problème au secondaire. Les élèves de ces années scolaires devraient apprendre les façons de s’exprimer et d’influencer le cours des choses que ce soit lors de cas individuels de cyberintimidation ou lorsqu’il s’agit de créer des espaces plus tolérants et respectueux en ligne.
Les élèves sont initiés à l'idée de « privilège » en rapport à la diversité ainsi qu'à la façon dont le privilège s'applique aux médias. Ils examinent ensuite une liste de privilèges liés aux médias afin de comprendre le concept.
Dans cette leçon, les élèves apprennent que leur présence en ligne est comme un curriculum vitæ qui peut les aider, ou leur nuire, à l’avenir dans leurs vies personnelles et professionnelles. Au début de la leçon, les élèves font une auto-évaluation de leur curriculum vitæ virtuel. Ils examinent ensuite les étapes pour limiter l’impact négatif du contenu qu’ils ont publié en ligne. Les élèves pensent ensuite à des personnes qu’ils considèrent être des héros ou des modèles de rôle, cernent les caractéristiques qui font qu’ils admirent ces personnes, et discutent de ce que ces personnes ont fait pour être perçues de façon aussi positive. Puis, les élèves apprennent des outils et des stratégies pour établir consciemment une marque positive en ligne et élaborer un plan de communication pour ce faire.
Dans cette leçon, les élèves utilisent des arbres conceptuels pour explorer les concepts de « respect » et de « consentement » dans un contexte virtuel. Ils considèrent une vaste gamme de scénarios qui font la lumière sur différents aspects du consentement relativement aux médias numériques et misent sur ceux-ci pour créer une définition détaillée. Aussi, les élèves créeront une vidéo « explicative » dans laquelle ils illustrent l’un des aspects du consentement.