Activités à imprimer pour les jeunes enfants
Une histoire de princesse - Activité à imprimer
Cette fiche d’activité imprimable présente les compétences et les concepts de base de l’éducation aux médias et peut être utilisée à la maison, à l
Cette fiche d’activité imprimable présente les compétences et les concepts de base de l’éducation aux médias et peut être utilisée à la maison, à l
This printable activity sheet introduces basic media literacy skills and concepts and is suitable for use in homes, schools and libraries. It can be completed independently, but children will learn more if you discuss the activity with them. Younger children may need help reading the instructions and completing the activity.
Dans cette leçon, les élèves commencent par parler du phénomène des égoportraits (selfies) et interviennent à titre d'experts pour conseiller l'enseignant quant aux normes permettant de sélectionner les meilleurs égoportraits. Puis, ils examinent des énoncés tirés d'entrevues auprès de jeunes qui font ressortir des enjeux tels que l'autoreprésentation, l'image corporelle et les normes associées aux sexes, et ils en apprennent davantage sur la retouche d'images. Enfin, les élèves mettent leur apprentissage en application en modifiant une image qui remonte à il y a au moins 50 ans, afin de la rendre conforme aux normes actuelles des égoportraits.
HabiloMédias vient de terminer un autre projet de recherche qui s’intitule Plateformes et signalements : les jeunes Canadiens évaluent les efforts de lutte contre la désinformation. Ce projet a permis à des jeunes de partout au Canada d’examiner et d’évaluer les processus de signalement sur des applications de médias sociaux populaires (comme Instagram, TikTok, Twitter et YouTube). Nous voulions en savoir plus sur ce que les jeunes pensent des efforts actuels pour lutter contre la désinformation et la mésinformation, ainsi que sur les solutions qu’ils pourraient proposer pour lutter contre ce type de préjudices en ligne. Pour ce faire, nous avons animé trois groupes de discussion auprès de 36 jeunes âgés de 16 à 29 ans. Nous leur avons demandé à quelle fréquence ils voyaient de la désinformation et de la mésinformation en ligne, ce qu’ils faisaient pour y remédier, et s’ils faisaient confiance aux plateformes pour les tenir informés et assurer leur sécurité lorsqu’ils naviguent en ligne et partagent des informations.
L’exposition au contenu à caractère sexuel constitue l’une des principales préoccupations des parents canadiens concernant l’expérience en ligne de leurs enfants, et aussi l’une des principales préoccupations des enfants eux-mêmes. Il n’est pas difficile de comprendre pourquoi : bien qu’il n’y ait plus de sites explicitement pornographiques sur les plateformes et les sites Web préférés des enfants et que les services qu’ils préfèrent, comme TikTok et Instagram, interdisent les contenus sexuellement explicites, près du tiers des enfants canadiens ont été exposés à du contenu pornographique en ligne sans en avoir cherché.
Nous savons que les jeunes accèdent à du contenu explicite en ligne. Nous en savons moins sur la façon dont cette exposition influence leurs attitudes et comportements. Si les enfants trouvent des renseignements exacts et appropriés à propos de la santé sexuelle ou de relations saines, alors il s’agit d’une chose positive, mais s’ils sont principalement exposés à la pornographie, alors ils pourraient plutôt recevoir des messages faussés sur les relations et les comportements sexuels.
Étant donné la grande probabilité que les jeunes rencontrent ou cherchent du contenu pornographique en ligne à un moment donné ou à un autre, sans compter les nombreux messages qu’ils reçoivent sur le sexe par l’intermédiaire d’autres médias, il est important que les parents jouent un rôle actif dans l’utilisation d’Internet de leurs enfants et commencent à leur parler des relations saines et de la sexualité à un très jeune âge pour les aider à contextualiser et à prendre des décisions quant au contenu qu’ils voient en ligne.
Il y a quelques temps, je suis tombée sur un vieil article de L’Actualité qui m’a jetée par terre. Dans celui-ci, on nous apprenait que 40% des adolescents de 14-15 ans – parfois aussi tôt qu’à partir de douze ans - consommaient de la pornographie en ligne. Bien sûr, l’article date. Mais en cherchant sur le web, je suis facilement arrivée sur d’autres articles – celui de The Conversation d’avril dernier notamment – qui évoquaient la même réalité.
Le début d'une nouvelle année scolaire approche à grands pas et de nombreux parents commencent à se demander comment ils peuvent aider leurs enfants à se débarrasser de leurs habitudes d'été liées aux médias. En plus de devoir établir de nouvelles règles pour l'utilisation des médias, les parents peuvent aussi faire face à un déluge de demandes et de questions de la part de leurs enfants au sujet de la technologie numérique, telles que les suivantes : Suis-je assez vieux avoir un téléphone cellulaire? Puis-je l'apporter à l'école? Qu'en est-il de mon iPod? Qu'en est-il de Facebook ou Twitter – tous mes amis y sont inscrits, j'en ai besoin pour leur parler de mes devoirs!