La violence dans les sports - Activité
Cette activité permet de sensibiliser les élèves du primaire à la présence de la violence dans les sports, ainsi qu'à la façon dont ils sont influencés par cette violence.
Cette activité permet de sensibiliser les élèves du primaire à la présence de la violence dans les sports, ainsi qu'à la façon dont ils sont influencés par cette violence.
Dans cette leçon, les élèves considèrent les aspects positifs des jeux vidéo ainsi que les façons dont les jeux peuvent réduire le temps disponible pour d’autres activités qu’ils aiment. On présente aux élèves l’idée d’équilibrer le jeu et le temps d’écran avec d’autres parties de leur vie et d’apprendre les raisons pour lesquelles ils pourraient être tentés de passer plus de temps à jouer à des jeux et trouver difficile d’arrêter de jouer. Ils peuvent consigner leur temps de jeu dans un journal (ou une autre activité à l’écran s’ils ne jouent pas à des jeux vidéo) qui les incite à réfléchir à leurs habitudes de jeu. En cours de route, on leur présente des techniques qui les aideront à modérer leur jeu et à composer avec les difficultés qu’ils pourraient rencontrer en réduisant leur temps de jeu. Puis, les élèves réfléchissent à l’expérience et élaborent un plan pour jouer plus consciemment.
Dans cette activité, les élèves identifient les stratégies de marketing qui mettent en vedette des personnalités sportives dans les publicités de magazines.
Les médias en disent long sur ce qui est important dans une société. Ce que nous voyons dans les médias peut avoir un impact sur la façon dont nous percevons les autres groupes et nous percevons nous-mêmes.
Les personnes 2SLGBTQINA+ participent à la production de leurs propres médias depuis que les médias alternatifs existent, mais depuis l’avènement de l’ère électronique et des appareils électroniques moins chers et plus accessibles pour la production, il y a eu une explosion de médias de toutes les sortes produits par des membres de la communauté 2SLGBTQINA+. La section suivante explore les façons dont les personnes 2SLGBTQINA+ ont cherché à revendiquer un espace pour elles-mêmes dans les médias et la culture.
La Loi sur la radiodiffusion du Canada, modifiée pour la dernière fois en 1991, énonce les lignes directrices de l’industrie en matière de représentation de la diversité.
Tout comme les reportages canadiens ne reflètent pas le multiculturalisme du Canada, la diversité raciale « en arrière-scène » des médias d’information est tout aussi disproportionnée. Près d’un quart de la population canadienne s’identifie comme un membre de ce que Statistique Canada appelle une « minorité visible » et, bien qu’une étude réalisée en 2021 ait révélé un taux de représentation similaire dans les salles de presse, 8 salles de presse sur 10 au Canada ne comptent aucun journaliste racialisé dans des rôles de direction.
Bien avant que le Canada ne devienne une confédération, les minorités visibles créaient déjà leurs propres médias : la première parution du Provincial Freeman, un journal hebdomadaire écrit et publié par les Afro-Canadiens de la province du Canada-Ouest (aujourd’hui l’Ontario), a été publiée le 24 mars 1854.
Bien que les avantages de la diversité des médias soient considérables, le processus de création peut être parsemé d’embûches.
Les groupes racialisés sont sous-représentés ou mal représentés dans les médias d’information, mais ils sont également dépeints de manière inexacte dans les médias de divertissement, qui ont tendance à renforcer les thèmes véhiculés dans les nouvelles. Bien que des changements positifs soient en train de se produire, il est important que le contenu des médias reflète de façon plus précise et plus juste la réalité du multiculturalisme canadien.