Suffragettes et dames de fer - Activité
Cette leçon met en lumière la façon dont les femmes sont représentées dans les médias.
Cette leçon met en lumière la façon dont les femmes sont représentées dans les médias.
Au cours de cette leçon, les élèves étudient la présence de stéréotypes sexistes dans notre société, ayant pour effet de décourager nos jeunes femmes à se lancer en politique.
Les élèves sont initiés à l'idée de « privilège » en rapport à la diversité ainsi qu'à la façon dont le privilège s'applique aux médias. Ils examinent ensuite une liste de privilèges liés aux médias afin de comprendre le concept.
En groupes, les élèves créeront une histoire numérique qui traite d’un sujet, d’un thème ou d’une question qui les touche. Toutes les étapes de la production seront couvertes, y compris la recherche, la scénarisation de leur idée en un schéma organisationnel visuel, la pratique de faire des photographies et des entrevues de qualité, et la transformation de leur histoire numérique en un projet fini à l’aide d’un logiciel d’édition informatique.
Le guide RÉAGISSEZ! Comment intervenir en matière de questions médiatiques vous fournit les outils entamer la discussion avec les sociétés médiatiques.
Dans cette leçon, les élèves sont initiés aux concepts d'identité de genre et d'expression de genre, et ils en apprennent davantage sur les représentations courantes des personnes trans dans les films et les émissions de télévision.
Dans cette leçon, les élèves prennent conscience du concept de stéréotype et du rôle que jouent les stéréotypes dans les histoires et les films qu'ils aiment. Ils se familiarisent avec les stéréotypes en nommant spontanément les caractéristiques qu'ils associent aux personnages types des contes et des films de Disney. Les plus jeunes élèves découvrent, grâce au livre La princesse dans un sac, des représentations non stéréotypées de princes et de princesses. Les élèves plus vieux, à la suite de la lecture du livre La vérité sur l'affaire des trois petits cochons, discutent des stéréotypes couramment associés aux animaux - et aux personnes - dans les histoires et les films pour enfants.
Au cours de la leçon, les élèves découvriront l’histoire du montage cinématographique et en apprendront davantage sur l’influence de la composition des plans, de la juxtaposition des images et de l’utilisation du rythme et de la répétition en montage cinématographique sur l’impact émotionnel d’un film. Les élèves commenceront par regarder une vidéo sur les notions de base du montage cinématographique et répondre à des questions pour faciliter leur compréhension. Ensuite, ils visionneront et analyseront un diaporama montrant les principales façons dont les « éléments constitutifs » du montage cinématographique influencent l’impact émotionnel d’un film, puis ils discuteront de leur incidence sur le classement de celui-ci. Pour terminer, les élèves créeront leur propre film ou scénarimage à l’aide des techniques de montage qu’ils auront apprises afin de produire différents effets émotionnels avec la même série de prises de vue.
Cette activité de deux périodes porte sur la nature des systèmes qui servent à classer des films, des émissions de télévision et des jeux vidéo. On demande aux élèves de poser un regard critique sur les critères qui permettent de classer ces produits médiatiques, puis de prendre en compte, et de discuter, des aspects sociaux et politiques sous-jacents qui découlent de ces systèmes.
C’est pendant cette période que les enfants changent le plus. Pendant les deux premières années, leur univers se résume aux interactions avec leurs parents et à l’exploration physique du monde qui les entoure. À l’âge de 3 ans, ils commencent à comprendre les règles générales concernant le monde et leur propre identité et sont constamment curieux à ce sujet. Ils jouent aussi souvent à faire semblant, « essayant » différents rôles, y compris ceux de leurs parents et d’autres adultes qu’ils connaissent.