Les Fake News et ce qu'on partage en ligne
On en parle énormément depuis quelque temps. Ces nouvelles qui, sous des apparences de légitimité, sont en fait ce qu’on en est venu à qualifier d’infox.
Ou Fake News pour les intimes.
On en parle énormément depuis quelque temps. Ces nouvelles qui, sous des apparences de légitimité, sont en fait ce qu’on en est venu à qualifier d’infox.
Ou Fake News pour les intimes.
Des études ont démontré que de communiquer un consensus scientifique sur un sujet donné peut constituer une stratégie utile dans la lutte contre la désinformation. Par exemple, une étude menée en 2015 révèle qu’un message favorable à la vaccination est plus susceptible d’être efficace s’il met l’accent sur le consensus médical concernant la sécurité des vaccins administrés aux enfants.
Après deux ans de pandémie COVID-19, il est plus évident que jamais que d'attaquer la question de la désinformation sur la COVID-19 devra se faire sous tous les angles possibles. Nous avons eu besoin de voix de confiance pour transmettre des messages forts, clairs et partageables dans les médias sociaux.
Les parents de jeunes enfants ont un rôle important à jouer pour assurer leur protection contre l'envahissement du marketing. Selon le magazine américain Consumer Reports, « les jeunes enfants font mal la distinction entre la publicité et la réalité contenues dans les annonces, lesquelles peuvent déformer leur compréhension du monde ».
La publicité est partout
Non, ce n’est pas votre imagination. Le volume de publicité et de marketing auquel nous sommes exposés quotidiennement a explosé : en moyenne, nous voyons plus de 4 000 publicités par jourx. Que ce soit à la pompe à essence, au cinéma, dans les toilettes, sur des autocollants apposés sur les fruits, lors d’événements sportifs ou dans les médias sociaux, il est pratiquement impossible d’éviter la publicité.
Les enfants représentent un marché très convoité en matière de publicité : ils contrôlent près de 150 milliards de dollars de dépenses seulement aux États-Unis et ont toute une vie de dépenses devant eux.
Les médias numériques, en particulier les réseaux sociaux et le jeu vidéo, tiennent une place toujours croissante dans la vie de nos enfants et de nos jeunes. Et même lorsqu’ils consomment d’autres médias comme la télévision, la musique et le cinéma, ils le font souvent via Internet. Par ailleurs, on retrouve une page Web, un univers virtuel, des jeux vidéo ou d’autres sous-produits numériques gravitant autour de la plupart des médias qu’ils consomment – partant du simple jouet à l’émission télévisuelle.
Comme dans d’autres médias, les personnes 2SLGBTQINA+ ont acquis une présence plus importante et plus visible dans le monde de la publicité, les agences de publicité courtisant l’« argent rose ». Ce n’est pas surprenant étant donné que le pouvoir d’achat des personnes 2SLGBTQINA+ est estimé à environ 917 millions de dollars.
Définir le marché des « préadolescents » (8 à 12 ans) est l’une des plus récentes tendances dans le domaine de la publicité destinée aux enfants.
L’une des grandes constatations de ce grand confinement que nous vivons tous en ce moment, c’est que si la gestion du temps d’écran familial était tout un défi pour les parents en temps normal «Avant-Covid», ce n’est devenu rien de moins qu’un challenge en temps de pandémie. À la limite, un combat peut être perdu d’avance alors qu’un retour à la norme n’est visiblement pas pour demain!