Les Fake News et ce qu'on partage en ligne
On en parle énormément depuis quelque temps. Ces nouvelles qui, sous des apparences de légitimité, sont en fait ce qu’on en est venu à qualifier d’infox.
Ou Fake News pour les intimes.
On en parle énormément depuis quelque temps. Ces nouvelles qui, sous des apparences de légitimité, sont en fait ce qu’on en est venu à qualifier d’infox.
Ou Fake News pour les intimes.
Années scolaire : 9e à 12e années
A propos de l’auteur : HabiloMédias
HabiloMédias a élaboré le contenu de cette leçon pour Elections BC.
Par Susana Mas, Responsable du Réseau vérif ado
Le Réseau vérif ado (RVA) est un programme de renommée internationale qui rassemble des adolescents pour apprendre la maîtrise des médias numériques en mettant l’accent sur les compétences en matière de vérification des faits.
Bien que les adolescents ne soient pas dans une phase de développement aussi intense que les préadolescents, leur passage à l’école secondaire, ainsi que la fin de cette étape, peut être stressant.
Deux grands changements surviennent à cet âge : le début de l’adolescence et (pour la plupart des enfants) le début de l’utilisation des téléphones et des médias sociaux. Bien que les plus jeunes utilisent la technologie numérique, il s’agit souvent d’un élément essentiel du développement et de l’épanouissement des préadolescents. Ils sont conscients des risques en ligne, comme les atteintes à la vie privée et les contacts avec des inconnus, mais le plus souvent de manière abstraite puisque ce sont les enseignants ou les parents qui leur en ont parlé, et non leurs pairs. Il en découle souvent un écart entre le risque qu’ils pensent courir et ce qu’ils font réellement.
Années scolaire : 9e à 12e années
A propos de l’auteur : HabiloMédias
Au cours de cette activité, les élèves :
Il y a quelques temps, je suis tombée sur un vieil article de L’Actualité qui m’a jetée par terre. Dans celui-ci, on nous apprenait que 40% des adolescents de 14-15 ans – parfois aussi tôt qu’à partir de douze ans - consommaient de la pornographie en ligne. Bien sûr, l’article date. Mais en cherchant sur le web, je suis facilement arrivée sur d’autres articles – celui de The Conversation d’avril dernier notamment – qui évoquaient la même réalité.
Après deux ans de pandémie COVID-19, il est plus évident que jamais que d'attaquer la question de la désinformation sur la COVID-19 devra se faire sous tous les angles possibles. Nous avons eu besoin de voix de confiance pour transmettre des messages forts, clairs et partageables dans les médias sociaux.
Des études ont démontré que de communiquer un consensus scientifique sur un sujet donné peut constituer une stratégie utile dans la lutte contre la désinformation. Par exemple, une étude menée en 2015 révèle qu’un message favorable à la vaccination est plus susceptible d’être efficace s’il met l’accent sur le consensus médical concernant la sécurité des vaccins administrés aux enfants.