Au secours! Youtube a avalé mon ado!
Je ne sais pas pour vous, mais chez-moi, j’ai parfois le sentiment que mon ado vit un peu comme dans un monde parallèle.
Je ne sais pas pour vous, mais chez-moi, j’ai parfois le sentiment que mon ado vit un peu comme dans un monde parallèle.
Ce qu’il y a de fascinant avec l’adolescence je trouve – celle de nos ados en particulier, parce qu’en tant que parent, on est amené à l’observer de près – c’est qu’une situation qu’on pensait sous contrôle une journée peut s’avérer nécessiter certains ajustements du jour au lendemain. Aussi, je pense que d’avoir un adolescent à la maison, c’est un peu avoir cet immense privilège de voir en direct et à la seconde précise ce moment venu d’aborder certaines questions précises avec notre adolescent.
C’est littéralement le phénomène de l’heure, n’ayons pas peur des mots! Car il faudrait vraiment vivre dans une grotte je pense pour ne pas en avoir entendu parler! «Squid Games», «Un deux trois soleil» ou «Le jeu du calmar» trois appellations pour parler du même succès planétaire qui sévit actuellement sur nos écrans. Plus précisément, cette émission de Netflix, concept importé de Corée, et qui a envahi les écrans (et l’espace public) du monde entier du jour au lendemain, me semble-t ’il.
Il y a quelques temps, je suis tombée sur un vieil article de L’Actualité qui m’a jetée par terre. Dans celui-ci, on nous apprenait que 40% des adolescents de 14-15 ans – parfois aussi tôt qu’à partir de douze ans - consommaient de la pornographie en ligne. Bien sûr, l’article date. Mais en cherchant sur le web, je suis facilement arrivée sur d’autres articles – celui de The Conversation d’avril dernier notamment – qui évoquaient la même réalité.
Les fêtes sont le temps idéal de rassembler pour visionner ensemble des films festifs. C’est aussi le temps où les enfants sont bombardés de messages publicitaires alors que certains recevront des nouveaux appareils technologiques comme cadeaux.
Nous avons compilé nos meilleures ressources à ce sujet, que ce soit l’établissement des règles autour des nouveaux appareils, d’enseigner le consumérisme aux enfants ou de s’engager auprès d’eux et du contenu que vous consommez ensemble.
L’un des obstacles à la lutte aux préjugés par les jeunes est la peur d’avoir l’air de trop réagir, surtout s’ils ont l’impression que l’autre personne ne faisait que « plaisanter ». Cependant, derrière l’humour se cachent souvent des actes d’intimidation et des préjugés. Dans ce cours, les participants analyseront les représentations médiatiques de l’agression relationnelle, comme le sarcasme et l’humour méprisant. Ils réfléchiront aussi à la manière dont la communication en ligne peut rendre difficile à cerner l’ironie ou la satire et faire en sorte qu’il est plus facile de blesser quelqu’un sans le savoir. Ensuite, les participants réfléchiront à comment l’humour peut servir d’excuse aux préjugés et discuteront des manières d’y réagir.
J’ai des adolescents, mais jusqu’à tout récemment, ils n’avaient pas de comptes de médias sociaux (quoique je suppose que Discord peut compter comme tel).
Par le passé, ils ne s’y intéressaient pas vraiment, si ce n’est quelques demandes pour Snapchat et Instagram qui ont disparu presque aussi vite qu’elles ont été mentionnées. Mais récemment, mon aîné m’a de nouveau posé des questions au sujet d’Instagram et, au fil des conversations, le moment d’y acquiescer semblait logique.
Les Autochtones continuent de faire l’objet de stéréotypes tenaces dans la plupart des médias de masse, d’une manière parfois moins manifeste que les stéréotypes touchant d’autres groupes. Cette section examine comment les Autochtones sont représentés et participent à divers médias et comment l’éducation aux médias peut aider les jeunes autochtones et non autochtones à comprendre l’impact des représentations stéréotypées.
Les élèves commenceront par regarder un diaporama qui explore les stéréotypes courants de la maladie mentale et son traitement dans les médias. Ils liront une analyse préparée de la représentation de la maladie mentale dans une émission de télévision populaire auprès des adolescents, puis analyseront en petits groupes une autre œuvre médiatique de leur choix. Ils créeront également une version annotée d’une scène ou d’un extrait d’œuvre médiatique dans laquelle ils analysent et évaluent sa représentation de la maladie mentale.
Dans cette leçon, les élèves apprendront comment la couverture médiatique d’un événement ou d’une question peut être biaisée, en se concentrant sur les aspects du média et de l’industrie qui peuvent mener à un parti pris. Ils liront un article qui examine la couverture de la maladie mentale dans les médias et participeront à une activité interactive qui leur permet de composer leur propre article. Les élèves trouveront et analyseront un reportage récent sur un sujet lié à la santé mentale et rédigeront une lettre pour en faire l’éloge ou le critiquer.