Les stéréotypes sexuels et l'image corporelle : exploration - Activité
Dans cette activité, les élèves repèrent certains stéréotypes sexuels dans les médias.
Dans cette activité, les élèves repèrent certains stéréotypes sexuels dans les médias.
Cette leçon permet aux élèves de se pencher sur les pressions exercées par notre société pour se conformer aux normes de beauté, en particulier pour être mince, et les préjugés associés au surpoids. Par le biais d’une discussion et d’activités en classe, les élèves pourront reconnaître comment les médias nous poussent à avoir une certaine apparence, comment les images dans les médias peuvent entraîner des préjugés à l’égard de ceux qui ne se conforment pas à leurs normes de beauté, et dans quelle mesure le corps idéal est différent dans le monde et a changé au fil du temps.
Cette activité vise à sensibiliser les élèves à la manière dont la violence masculine est utilisée et exploitée en publicité.
Cette leçon aidera les élèves à comprendre la relation entre l’image corporelle et le marketing en explorant les campagnes de positivité corporelle d’Aerie et de Dove. Les élèves commenceront par lire des articles sur l’impact des campagnes de positivité corporelle sur les entreprises et les consommateurs. Ils examineront ensuite des publicités de positivité corporelle destinées aux hommes et liront des recherches sur le manque de représentation dans ce domaine. Ils compareront aussi une série de publicités traditionnelles à des publicités de positivité corporelle et discuteront de la manière dont les spécialistes du marketing ciblent les messages de « beauté idéale » tant auprès des hommes que des femmes ainsi que de leur efficacité. Les élèves détermineront, par le biais d’une discussion, si les publicités de positivité corporelle sont efficaces ou non en général.
Les élèves sont initiés à l'idée de « privilège » en rapport à la diversité ainsi qu'à la façon dont le privilège s'applique aux médias. Ils examinent ensuite une liste de privilèges liés aux médias afin de comprendre le concept.
Deux grands changements surviennent à cet âge : le début de l’adolescence et (pour la plupart des enfants) le début de l’utilisation des téléphones et des médias sociaux. Bien que les plus jeunes utilisent la technologie numérique, il s’agit souvent d’un élément essentiel du développement et de l’épanouissement des préadolescents. Ils sont conscients des risques en ligne, comme les atteintes à la vie privée et les contacts avec des inconnus, mais le plus souvent de manière abstraite puisque ce sont les enseignants ou les parents qui leur en ont parlé, et non leurs pairs. Il en découle souvent un écart entre le risque qu’ils pensent courir et ce qu’ils font réellement.
Je lisais récemment qu’Instagram était désormais considéré comme ayant le potentiel d’aggraver les troubles de l’apparence. Au point ou de nos jours, certains troubles allant jusqu’à la dysmorphie semblent désormais diagnostiqués de plus en plus fréquemment dans les cabinets de médecin. Un trouble qui selon cet article de Slate, toucherait dans les faits jusqu’à 1 à 2,4% de la population.
Bien qu’elles ne soient pas le seul facteur, les représentations médiatiques du poids et de la forme du corps sont un élément majeur dans les problèmes d’image corporelle. Les médias de tous les genres encouragent fréquemment la stigmatisation du poids, présentant le plus souvent le poids comme étant une responsabilité individuelle[1].
Les médias traditionnels comme le cinéma, la presse écrite et la musique ont toujours un impact significatif sur l’image corporelle des jeunes. Des recherches ont montré que même les actualités peuvent favoriser les préjugés sur le poids dans leur façon de montrer des personnes plus corpulentes, à la fois dans les photographies et dans leur manière d’aborder le poids et la santé.
Les médias numériques, en particulier les réseaux sociaux et le jeu vidéo, tiennent une place toujours croissante dans la vie de nos enfants et de nos jeunes. Et même lorsqu’ils consomment d’autres médias comme la télévision, la musique et le cinéma, ils le font souvent via Internet. Par ailleurs, on retrouve une page Web, un univers virtuel, des jeux vidéo ou d’autres sous-produits numériques gravitant autour de la plupart des médias qu’ils consomment – partant du simple jouet à l’émission télévisuelle.