Semaine sans écran
La Semaine sans écran est un événement annuel qui se tient traditionnellement en printemp. Chaque année, des gens à travers le monde décident, de façon consciente, d’éteindre tout type d’écran pendant une semaine.
La Semaine sans écran est un événement annuel qui se tient traditionnellement en printemp. Chaque année, des gens à travers le monde décident, de façon consciente, d’éteindre tout type d’écran pendant une semaine.
Dans cette leçon, les élèves découvrent comment les jeux vidéo peuvent avoir un impact sur leur santé mentale et physique. Les élèves commencent par réfléchir à leur utilisation des jeux vidéo, plus précisément au nombre d'heures pendant lesquelles ils jouent et au rôle des jeux dans leur vie. Ensuite, une activité de classe basée sur plusieurs questions clés présente les effets positifs et négatifs que peuvent avoir les jeux vidéo sur la santé. Enfin, les élèves ont l'occasion de prendre part à un débat portant sur des allégations quant à l'incidence des jeux vidéo sur la santé.
Une des mesures les plus importantes que vous pouvez prendre pour familiariser vos enfants avec les medias médias est ce qu’on appelle l’engagement médiatique, ce qui comprend écouter de la musique, regarder la télévision, des films et des vidéos ensemble, découvrir leurs applications préférées et jouer à des jeux qu’ils aiment. Cela implique également de discuter avec eux de leur vie médiatique : les choses qu’ils aiment, qui les passionnent ou qu’ils attendent avec impatience, et les choses qui les inquiètent ou les agacent. Bien que d’être simplement avec eux soit une étape importante, il s’agit également d’une belle occasion d’aider vos enfants à exercer leur pensée critique face aux médias qu’ils consomment en leur posant des questions sur le sujet et en y donnant suite.
Partout où nous nous tournons, nous entendons parler de l’intelligence artificielle (IA). Nous savons déjà que l’IA nous entoure : des algorithmes nous suggèrent ce que nous devons regarder et des outils tels que ChatGPT et Midjourney sont utilisés pour générer le contenu que nous voyons. Mais combien d’entre nous comprennent réellement ce que sont les algorithmes? Si vous êtes parent, tuteur ou enseignant, êtes-vous prêt à enseigner aux jeunes comment utiliser l’IA de manière responsable?
La frontière est souvent mince entre liberté d’expression et propos haineux. D’ailleurs, la définition de ce qui est acceptable ou non d’exprimer et de diffuser varie d’un pays, d’une plateforme et d’une communauté à l’autre. Sur Internet, la ligne est encore plus mince, et un commentaire haineux affiché légalement dans un pays peut être considéré illégal dans des pays où les critères sont plus rigoureux.
La réponse conventionnelle du gouvernement face à la propagande haineuse sur Internet a été de contrôler le cyberespace comme un prolongement du territoire de l’État, en ignorant la ligne de démarcation entre l’espace « en ligne » et « hors ligne ».
Dès son avènement, Internet a été salué comme un marché exceptionnellement libre d’idées pour devenir ensuite un moyen essentiel d’accéder à de l’information et à des services. Toutefois, en marge de ses nombreuses ressources précieuses, Internet offre également son lot de contenus offensants, dont des contenus haineux, qui tentent d’attiser l’opinion publique contre certains groupes et de dresser les gens les uns contre les autres.
Internet est devenu le moyen de communication par excellence dans le monde entier, et cette envergure internationale sans précédent, combinée à la difficulté de localiser la provenance des communications, a fait d’Internet l’outil idéal pour permettre aux extrémistes de présenter de vieilles haines sous un jour nouveau, de lever des fonds et de recruter des membres. À mesure qu’Internet s’est développé et a évolué, les groupes et les mouvements motivés par la haine se sont adaptés à cette nouvelle réalité. Ils ont créé des sites Web, des forums et des profils dans les réseaux sociaux et ont exercé leurs activités notamment sur les sites de jeux en ligne et en allant jusqu’à créer des versions parallèles de plateformes comme Twitter, YouTube et GoFundMe.
Il existe deux principales stratégies pour lutter contre la propagande haineuse en ligne et les cultures de haine dans la salle de classe : enseigner aux jeunes à les reconnaître et les déconstruire, puis leur donner les moyens d’intervenir par la réplique.