10 façons de rendre le monde meilleur aujourd’hui
Rendre le monde meilleur aujourd’hui
Rendre le monde meilleur aujourd’hui
Les élèves sont initiés à l'idée de « privilège » en rapport à la diversité ainsi qu'à la façon dont le privilège s'applique aux médias. Ils examinent ensuite une liste de privilèges liés aux médias afin de comprendre le concept.
Présenter la question de la pornographie dans une discussion en classe. Aider les élèves à comprendre la difficulté de déterminer les limites précises entre l’art érotique, la liberté d’expression et l’exploitation sexuelle et les familiariser avec les lignes directrices pour faire ces distinctions.
Dans cette leçon, les élèves apprennent à remettre en question les représentations médiatiques du genre, des relations et de la sexualité. Après un bref questionnaire de démystification de mythes sur les relations dans les médias et un rappel de la nature fabriquée des produits médiatiques, l’enseignant amène la classe à analyser les messages sur le genre, le sexe et les relations communiqués par les publicités pour la bière et l’alcool. Les élèves analysent les messages communiqués par leurs types de médias préférés et en font une comparaison avec leur propre expérience.
Dans cette leçon, les élèves discuteront des photos, des vidéos et des nouvelles « virales » qui sont diffusées sur les médias sociaux. On leur montre qu’il est difficile de les authentifier en n’utilisant que leur contenu et on leur présente des outils et des techniques pour évaluer leur exactitude selon le contexte afin de prendre des décisions sages et responsables sur le partage (ou non) de ce contenu avec leurs amis et leur famille.
Dans cette leçon, les élèves, en groupes, doivent présenter leur question et leur solution aux gens dans la rue. Afin d’adopter de réels changements par l’action pour en faire profiter l’ensemble de la collectivité, chaque sujet choisi devra être exposé à d’autres membres de la collectivité et compris par eux. Les élèves concevront une campagne promotionnelle de sensibilisation communautaire afin d’adopter des changements réels qui sont importants pour eux. Si les élèves ont complété la leçon Narration numérique pour la mobilisation communautaire et créé leur propre histoire numérique, ce projet numérique peut servir de produit ou de point de départ par l’intermédiaire duquel ils partagent avec les autres. Dans le cas contraire, les groupes d’élèves peuvent créer une solution hypothétique à un problème existant, laquelle peut ensuite être diffusée à l’ensemble de la collectivité au moyen de la stratégie de sensibilisation qu’ils ont conçue.
Est-ce que je laisse aller les choses parce que je m’inquiète d’empirer les choses pour la personne ciblée? Certaines des choses que nous faisons lorsque nous sommes témoins de cyberintimidation, même lorsque nous tentons d’aider, peuvent empirer la situation. Il est donc toujours une bonne idée de prendre du recul et de réfléchir à la situation avant d’intervenir.
Souvent, les enfants diront qu’il ne s’agit pas d’intimidation, mais seulement d’une plaisanterie. En réalité, il s’agit de la principale raison d’être méchant en ligne. À d’autres moments, les gens minimiseront la gravité de la situation.
En plus des images de désastres naturels et de violence, le reportage des crimes haineux, un sujet assez commun aux nouvelles, peut également être troublant pour les enfants. Le fait de voir ou d’entendre dans les médias les agressions motivées par la haine et le vandalisme des maisons, des cimetières et des lieux de culte, peut susciter de la peur ou de l’anxiété chez les jeunes, en particulier s’ils appartiennent à des groupes vulnérables. Dans plusieurs cas, l’effet sera pire parce que les jeunes canadiens ne sont pas témoins de racisme et de haine que dans les actualités : près de la moitié voit du contenu haineux en ligne au moins une fois par mois et un sur six en voit tous les jours.
Saviez-vous que près du quart des adultes ont déjà partagé une fausse nouvelle et que nous sommes moins portés à valider les nouvelles et d’autres informations qui nous sont communiquées par des gens que nous connaissons et à qui nous faisons confiance dans les médias sociaux (même s’il s’agit des principales sources d’information de bien des gens)?