
Survivre à la saison des «Je veux» : Ce n’est pas toujours un cadeau
Chaque année en novembre et décembre, c’est un peu le même rituel qui se répète dans nos chaumières. Nos enfants et nos ados qui soudainement, en voyant l’imminence de Noël à nos portes, se mettent soudainement à se créer mille envies. En 2013, Statistique Canada évaluait à quelques 401 M$ les dépenses faites par les familles pour l’achat de cadeaux. Une vraie fortune!

L'art d'être un Père Noël branché
Malgré son grand âge, le Père Noël sait rester tendance. Cette année encore, sous le sapin, il y aura immanquablement de beaux gadgets technologiques, et bien sûr un ou deux jeux vidéo –une industrie qui se rit de la crise économique : au Canada, elle a réalisé une hausse des ventes de 36 pour cent entre 2007 et 2008.

Fiche-conseils pour les parents : Survivre à la saison des « je veux »
Pour les parents, cette période de l'année peut donner l'impression de marcher dans un champ de mines, avec les annonces, les décorations et la musique visant à exciter les enfants à l'idée du temps des fêtes. Chaque année, les enfants s'empressent de demander au Père-Noël les jouets les plus recherchés et les plus tendance – puis ils confrontent leurs parents avec ce « pouvoir de harcèlement ». Bien sûr, rares sont les parents qui veulent jouer le rôle du « grincheux » – nous voulons tous rendre nos enfants heureux – mais il peut exister un juste milieu entre céder au pouvoir de harcèlement et annuler complètement le temps des fêtes. Voici quelques conseils pour contrôler la consommation associée au temps des fêtes :

La magie de Noël à l'ère d'Internet, des tablettes électroniques et des jeux vidéos
Chaque automne c’est la même chose ! Novembre n’est pas sitôt arrivé que mon teint prends une indescriptible couleur un peu verdâtre et des poils sortent de partout… Au point d’en venir parfois à me demander si Grinch, ce ne serait pas moi par moment!
