Réagissez! Comment intervenir en matière de questions médiatiques
Le guide RÉAGISSEZ! Comment intervenir en matière de questions médiatiques vous fournit les outils entamer la discussion avec les sociétés médiatiques.
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Dans cette leçon, les élèves sont initiés aux concepts d'identité de genre et d'expression de genre, et ils en apprennent davantage sur les représentations courantes des personnes trans dans les films et les émissions de télévision.
Au cours de la leçon, les élèves découvriront l’histoire du montage cinématographique et en apprendront davantage sur l’influence de la composition des plans, de la juxtaposition des images et de l’utilisation du rythme et de la répétition en montage cinématographique sur l’impact émotionnel d’un film. Les élèves commenceront par regarder une vidéo sur les notions de base du montage cinématographique et répondre à des questions pour faciliter leur compréhension. Ensuite, ils visionneront et analyseront un diaporama montrant les principales façons dont les « éléments constitutifs » du montage cinématographique influencent l’impact émotionnel d’un film, puis ils discuteront de leur incidence sur le classement de celui-ci. Pour terminer, les élèves créeront leur propre film ou scénarimage à l’aide des techniques de montage qu’ils auront apprises afin de produire différents effets émotionnels avec la même série de prises de vue.
Cette activité de deux périodes porte sur la nature des systèmes qui servent à classer des films, des émissions de télévision et des jeux vidéo. On demande aux élèves de poser un regard critique sur les critères qui permettent de classer ces produits médiatiques, puis de prendre en compte, et de discuter, des aspects sociaux et politiques sous-jacents qui découlent de ces systèmes.
La plupart des jeunes sont témoins de haine et de préjudices en ligne, et la plupart d’entre eux disent qu’il est important d’intervenir. Mais que tu aies vu une vidéo contenant des théories du complot racistes ou un ami partager un mème offensant, il peut être difficile de savoir quoi faire.
C’est pendant cette période que les enfants changent le plus. Pendant les deux premières années, leur univers se résume aux interactions avec leurs parents et à l’exploration physique du monde qui les entoure. À l’âge de 3 ans, ils commencent à comprendre les règles générales concernant le monde et leur propre identité et sont constamment curieux à ce sujet. Ils jouent aussi souvent à faire semblant, « essayant » différents rôles, y compris ceux de leurs parents et d’autres adultes qu’ils connaissent.
Les élèves du primaire sont déjà des utilisateurs actifs des technologies numériques. Bien qu’ils soient généralement surveillés lorsqu’ils vont en ligne, de nombreux enjeux doivent encore être pris en compte. Au cours de cette période, ils commencent à intégrer les ordinateurs et Internet dans leur vie quotidienne. À la fin de cette période, ils sont généralement très actifs dans les jeux et les environnements virtuels. Ils développent leur capacité de comprendre des concepts abstraits, mais ces concepts doivent être introduits dans le contexte des activités quotidiennes. Par exemple, l’importance de la confidentialité en ligne peut être introduite en leur faisant penser à des moments ou à des endroits de la maison qu’ils voudraient garder privés.
Bien que les adolescents ne soient pas dans une phase de développement aussi intense que les préadolescents, leur passage à l’école secondaire, ainsi que la fin de cette étape, peut être stressant.
Deux grands changements surviennent à cet âge : le début de l’adolescence et (pour la plupart des enfants) le début de l’utilisation des téléphones et des médias sociaux. Bien que les plus jeunes utilisent la technologie numérique, il s’agit souvent d’un élément essentiel du développement et de l’épanouissement des préadolescents. Ils sont conscients des risques en ligne, comme les atteintes à la vie privée et les contacts avec des inconnus, mais le plus souvent de manière abstraite puisque ce sont les enseignants ou les parents qui leur en ont parlé, et non leurs pairs. Il en découle souvent un écart entre le risque qu’ils pensent courir et ce qu’ils font réellement.
La plupart des enfants sont témoins de haine et de préjugés dans des espaces comme les jeux, les réseaux sociaux et les vidéos en ligne. Ils disent également qu’ils veulent intervenir lorsqu’ils en sont témoins, mais ne savent pas quoi faire.