Jeu des classements - Activité
Cette activité permet de présenter aux élèves des systèmes de classement des films, des cassettes vidéo, des émissions de télévision et des questions qu'ils soulèvent.
Cette activité permet de présenter aux élèves des systèmes de classement des films, des cassettes vidéo, des émissions de télévision et des questions qu'ils soulèvent.
Dans cette leçon, les élèves apprennent des façons de gérer leur vie privée et leur réputation en ligne en explorant leur présence numérique et de faire de bons choix quant au partage du contenu d’autres personnes en ligne. Les élèves explorent comment ils sont représentés en ligne par l’intermédiaire de leur propre contenu et le contenu affiché ou partagé par d’autres, ainsi que d’outils de recherche pour contrôler l’accès à leur contenu virtuel. Les élèves explorent des dilemmes moraux relatifs à l’affichage et au partage de matériel personnel.
Les élèves comparent et évaluent les ressources disponibles sur Internet aux ressources documentaires de la bibliothèque.
« Les technologies numériques peuvent avoir à la fois des effets positifs et négatifs sur le bien- être des jeunes, en fonction de l’activité effectuée et du temps qui y est consacré. » [1]
Le temps d’écran est un facteur important, mais pas autant que l’utilisation que les jeunes en font :
Qu’on se le dise!
Être parent aujourd’hui, c’est loin d’être toujours simple! Il suffit en effet de penser à toutes ces injonctions qui nous sont faites constamment, parmi lesquelles nous nous retrouvons désormais à devoir légiférer en plus sur la consommation des écrans par nos chers ados!
Dans le cadre de cette leçon, les élèves examineront la façon dont nos propres partis pris peuvent nous empêcher d’être objectifs. Ils apprendront des façons de reconnaître et d’expliquer leurs partis pris et mettront en pratique ces connaissances en jouant à un jeu interactif en ligne. Ils apprendront comment les campagnes d’intérêt public peuvent changer les normes sociales et créeront leur propre message d’intérêt public pour promouvoir le partage éthique de renseignements en ligne.
Je lisais récemment qu’Instagram était désormais considéré comme ayant le potentiel d’aggraver les troubles de l’apparence. Au point ou de nos jours, certains troubles allant jusqu’à la dysmorphie semblent désormais diagnostiqués de plus en plus fréquemment dans les cabinets de médecin. Un trouble qui selon cet article de Slate, toucherait dans les faits jusqu’à 1 à 2,4% de la population.
Au cours de cette activité, les élèves :