À l’aide! Quelqu’un a partagé une photo de moi sans mon consentement! – Fiche-conseil
Ne panique pas! Tu peux prendre plusieurs mesures pour corriger la situation.
Ne panique pas! Tu peux prendre plusieurs mesures pour corriger la situation.
Cyber-Choix est un jeu interactif conçu pour aider les élèves de la 3e à la 5e année à acquérir les compétences et les habitudes dont ils ont besoin pour faire des choix responsables en ligne. Cyber-Choix permet aux élèves d’explorer quatre histoires différentes qui abordent des questions clés comme faire de bons choix concernant ses renseignements personnels et ceux des autres, faire face à la cyberintimidation (en tant que cible et témoin) et gérer les conflits en ligne.
La Semaine sans écran est un événement annuel qui se tient traditionnellement en printemp. Chaque année, des gens à travers le monde décident, de façon consciente, d’éteindre tout type d’écran pendant une semaine.
L’une des grandes constatations de ce grand confinement que nous vivons tous en ce moment, c’est que si la gestion du temps d’écran familial était tout un défi pour les parents en temps normal «Avant-Covid», ce n’est devenu rien de moins qu’un challenge en temps de pandémie. À la limite, un combat peut être perdu d’avance alors qu’un retour à la norme n’est visiblement pas pour demain!
Il est naturel pour les adolescents d’être curieux quant au sexe. Les recherches de HabiloMédias suggèrent que 1 élève sur 6 de la 7e à la 11e année utilise Internet pour rechercher des renseignements sur la santé sexuelle. Globalement, 20 % des enfants de cet âge recherchent du contenu pornographique en ligne, mais un tiers d’entre eux en voient sans en chercher, et près de la moitié prennent des mesures pour ne pas en voir.
La frontière est souvent mince entre liberté d’expression et propos haineux. D’ailleurs, la définition de ce qui est acceptable ou non d’exprimer et de diffuser varie d’un pays, d’une plateforme et d’une communauté à l’autre. Sur Internet, la ligne est encore plus mince, et un commentaire haineux affiché légalement dans un pays peut être considéré illégal dans des pays où les critères sont plus rigoureux.
La réponse conventionnelle du gouvernement face à la propagande haineuse sur Internet a été de contrôler le cyberespace comme un prolongement du territoire de l’État, en ignorant la ligne de démarcation entre l’espace « en ligne » et « hors ligne ».
Dès son avènement, Internet a été salué comme un marché exceptionnellement libre d’idées pour devenir ensuite un moyen essentiel d’accéder à de l’information et à des services. Toutefois, en marge de ses nombreuses ressources précieuses, Internet offre également son lot de contenus offensants, dont des contenus haineux, qui tentent d’attiser l’opinion publique contre certains groupes et de dresser les gens les uns contre les autres.
Internet est devenu le moyen de communication par excellence dans le monde entier, et cette envergure internationale sans précédent, combinée à la difficulté de localiser la provenance des communications, a fait d’Internet l’outil idéal pour permettre aux extrémistes de présenter de vieilles haines sous un jour nouveau, de lever des fonds et de recruter des membres. À mesure qu’Internet s’est développé et a évolué, les groupes et les mouvements motivés par la haine se sont adaptés à cette nouvelle réalité. Ils ont créé des sites Web, des forums et des profils dans les réseaux sociaux et ont exercé leurs activités notamment sur les sites de jeux en ligne et en allant jusqu’à créer des versions parallèles de plateformes comme Twitter, YouTube et GoFundMe.
L’internet permet aux jeunes de socialiser avec leurs amis et leur famille, de trouver des personnes avec qui ils partagent des intérêts communs, et des communautés pouvant leur fournir un soutien émotionnel.