Ma voix est plus forte que la haine
Ma voix est plus forte que la haine, la plus récente ressource de HabiloMédias, utilise des outils de narration numérique et de création de mèmes pour encourager les jeunes à intervenir face à la haine en ligne.
Ma voix est plus forte que la haine, la plus récente ressource de HabiloMédias, utilise des outils de narration numérique et de création de mèmes pour encourager les jeunes à intervenir face à la haine en ligne.
Ce module de trois jours permet aux élèves d’évaluer la couverture médiatique de certaines catastrophes naturelles et des événements qui s’ensuivent.
Cette leçon permet aux élèves de mieux comprendre ce qu’est la désignation de boucs émissaires et la altérisation et de voir comment ces comportements attisent la haine et l’intolérance.
Dans cette leçon, les élèves apprennent comment les techniques de propagande sont utilisées pour promouvoir la haine et l’intolérance en ligne.
Dans cette leçon, les élèves apprennent comment les médias numériques sont utilisés pour promouvoir ou combattre la haine et l’intolérance.
Plus que toute autre chose dans les médias, la couverture médiatique influence les personnes et les questions qui font partie de la conversation nationale et la façon dont ces questions sont abordées[1]. Lorsqu’il est question des peuples et des communautés autochtones, les questions politiques ou constitutionnelles, les incendies de forêt, la pauvreté, les abus sexuels et la dépendance aux drogues semblent souvent constituer la seule forme de couverture médiatique accordée aux communautés autochtones. Quelques reportages sur des activités culturelles apparaissent ici et là dans les médias locaux, mais il faut être très attentif pour les trouver.
« L’autoroute des larmes » (the « Highway of Tears »), comme on l’a surnommée, est une portion d’autoroute de 800 kilomètres en Colombie-Britannique où plus d’une douzaine de jeunes femmes ont disparu depuis 1994 ; là même où près de 20 jeunes femmes avaient disparu ou avaient été assassinées entre la fin des années 1960 et le début des années 1980. Jusqu’à tout récemment, cependant, ces crimes avaient été peu médiatisés, probablement parce que la majorité des victimes étaient des femmes autochtones.
Cette activité vise à conscientiser les élèves face au portrait médiatique de la violence des jeunes et à son effet sur les perceptions de la société à l'égard de la jeunesse.
C’est pourquoi il est important de parler aux jeunes des préjugés irréfléchis, c’est-à-dire l’utilisation de mots ou de phrases qui sont péjoratifs envers un groupe en particulier, et de les aider à apprendre à réagir à des situations dans lesquelles ils ne sont pas certains des intentions de la personne.
Voici quelques conseils afin d’aider vos enfants à répondre aux préjugés irréfléchis en ligne :