Ma voix est plus forte que la haine
Ma voix est plus forte que la haine, la plus récente ressource de HabiloMédias, utilise des outils de narration numérique et de création de mèmes pour encourager les jeunes à intervenir face à la haine en ligne.
Ma voix est plus forte que la haine, la plus récente ressource de HabiloMédias, utilise des outils de narration numérique et de création de mèmes pour encourager les jeunes à intervenir face à la haine en ligne.
Cette leçon permet aux élèves d’explorer les concepts des règles, des valeurs et de l’éthique et d’apprendre comment ces éléments influencent notre prise de décisions. Les élèves sont ensuite invités à considérer comment ils peuvent contribuer à créer des cultures virtuelles positives.
Cette leçon permet aux élèves d’explorer et de discuter des aspects juridiques de la cyberintimidation. Les élèves passent en revue des études de cas hypothétiques, mesurent la gravité de chacun des cas, établissent qui est légalement responsable, quelle mesure doit être prise et par qui. Afin d’établir ceci, les élèves chercheront des réponses aux questions suivantes : Comment se différencie la cyberintimidation de l’intimidation hors ligne ? Quels sont les aspects d’un cas de cyberintimidation pouvant mener à une action en justice ? Qu’est-ce qui détermine s’il s’agit d’une affaire civile ou d’une affaire criminelle ? Comment la Charte des droits et la Convention relative aux droits de l’enfant peut-elle trouver un équilibre entre la liberté d’expression et la sécurité de la personne ? À quel moment et de quelle façon les écoles doivent-elles se sentir responsables des cas de cyberintimidation ?
Au cours de cette leçon, les élèves sont initiés à l’histoire de la pratique du « blackface » (littéralement, « face noire » – une forme de représentation raciste traditionnelle dans laquelle les acteurs se maquillaient en noir pour évoquer les traits ethniques stéréotypés des Noirs aux États-Unis) et aux autres exemples d’acteurs qui proviennent de groupes majoritaires et jouent des personnages de groupes minoritaires, comme des acteurs blancs jouant des personnages asiatiques ou autochtones ainsi que des acteurs valides jouant des personnages atteints d’une incapacité.
En ligne, la violence verbale ou psychologique est la forme la plus fréquente d’intimidation. L’intimidation sociale, une autre forme répandue – particulièrement chez les filles – comprend l’exclusion sociale et la propagation de médisances et de rumeurs.
Les personnes 2SLGBTQINA+ participent à la production de leurs propres médias depuis que les médias alternatifs existent, mais depuis l’avènement de l’ère électronique et des appareils électroniques moins chers et plus accessibles pour la production, il y a eu une explosion de médias de toutes les sortes produits par des membres de la communauté 2SLGBTQINA+. La section suivante explore les façons dont les personnes 2SLGBTQINA+ ont cherché à revendiquer un espace pour elles-mêmes dans les médias et la culture.
Lorsqu’il est question de la représentation de divers groupes dans les médias, en particulier ceux que nous considérons comme marginalisés, les stéréotypes sont souvent au cœur des préoccupations. Mais l’élimination d’un stéréotype ne va peut-être pas assez loin, et la question peut être plus compliquée que de simplement déterminer si un personnage est représenté de manière positive ou négative. La section qui suit explore différentes approches du contenu s’adressant à la communauté 2SLGBTQINA+ en analysant diverses façons dont les médias populaires ont caractérisé les personnes 2SLGBTQINA+.
Comme dans d’autres médias, les personnes 2SLGBTQINA+ ont acquis une présence plus importante et plus visible dans le monde de la publicité, les agences de publicité courtisant l’« argent rose ». Ce n’est pas surprenant étant donné que le pouvoir d’achat des personnes 2SLGBTQINA+ est estimé à environ 917 millions de dollars.