Un événement à la télé, à la radio et dans la presse écrite - Activité
Le choix des mots et des images - processus normal et inévitable - dans la relation d'un fait n'est pas sans conséquences sur la façon dont l'événement est perçu.
Le choix des mots et des images - processus normal et inévitable - dans la relation d'un fait n'est pas sans conséquences sur la façon dont l'événement est perçu.
Dans cette activité, les élèves du premier cycle du secondaire produisent en vidéo un téléjournal d'une durée de 20 minutes.
Les élèves comparent et évaluent les ressources disponibles sur Internet aux ressources documentaires de la bibliothèque.
Ça y est, c’est l’âge : ma fille, 10 ans, veut un compte sur Facebook. Comme plusieurs de ses amies, qui en ont déjà un depuis longtemps. Même si l’âge légal est de 13 ans... La pression est forte. La tentation est grande d’accepter à condition que « tu m’acceptes comme amie et que je vérifie tout ce que tu postes et ce que tu reçois »... Comme cette maman qui surveille les réseaux sociaux de ses enfants à partir de son téléphone cellulaire.
Qu’on se le dise!
Être parent aujourd’hui, c’est loin d’être toujours simple! Il suffit en effet de penser à toutes ces injonctions qui nous sont faites constamment, parmi lesquelles nous nous retrouvons désormais à devoir légiférer en plus sur la consommation des écrans par nos chers ados!
Dans le cadre de cette leçon, les élèves examineront la façon dont nos propres partis pris peuvent nous empêcher d’être objectifs. Ils apprendront des façons de reconnaître et d’expliquer leurs partis pris et mettront en pratique ces connaissances en jouant à un jeu interactif en ligne. Ils apprendront comment les campagnes d’intérêt public peuvent changer les normes sociales et créeront leur propre message d’intérêt public pour promouvoir le partage éthique de renseignements en ligne.
Mon Dieu! Je suis à un cheveu de croire que j'ai un réel problème d'alignement de mes chakras !
Je lisais récemment qu’Instagram était désormais considéré comme ayant le potentiel d’aggraver les troubles de l’apparence. Au point ou de nos jours, certains troubles allant jusqu’à la dysmorphie semblent désormais diagnostiqués de plus en plus fréquemment dans les cabinets de médecin. Un trouble qui selon cet article de Slate, toucherait dans les faits jusqu’à 1 à 2,4% de la population.
Au cours de cette activité, les élèves :