L’atelier Mi-fille, mi-face
Mi-fille, mi-face examine de nombreux problèmes auxquels les adolescentes de la 7e à la 9e année peuvent être confrontées lorsqu'elles utilisent les médias numériques – notamment les réseaux sociaux.
Mi-fille, mi-face examine de nombreux problèmes auxquels les adolescentes de la 7e à la 9e année peuvent être confrontées lorsqu'elles utilisent les médias numériques – notamment les réseaux sociaux.
Le classement des émissions de télévision, je me rends compte, en tant qu’agente d’évaluation aux contenus télé, que c’est un peu nébuleux pour les gens autour de moi. Aussi, il est fréquent qu’on me demande comment, dans le cadre de mon travail, je procède pour en arriver à la décision de classer une émission Général, 8+, 13+, 16+ ou même, 18+ dans certains cas plus rares.
Le saviez-vous? Les deux tiers des élèves canadiens ont aidé quelqu’un qui était intimidé en ligne.
Lorsque tu vois ou entends des choses négatives en ligne, tu as le pouvoir de rendre les choses meilleures, ou pires. Parfois, il est difficile de savoir ce qu’est la bonne chose à faire alors pose-toi les questions suivantes.
La cyberintimidation, on en entend beaucoup parler n’est-ce pas ? Et cela, d’une façon qui bien souvent, donne l’impression au parent moyen dont je suis que ce fléau soit plus exagérément rependu qu’il ne l’est sans doute en réalité!
Ce guide est conçu pour appuyer les enseignants, les responsables de jeunes et les dirigeants communautaires qui animeront l’atelier Mi-fille, mi-face auprès des filles.
Dans cette leçon, les élèves apprennent à remettre en question les représentations médiatiques du genre, des relations et de la sexualité. Après un bref questionnaire de démystification de mythes sur les relations dans les médias et un rappel de la nature fabriquée des produits médiatiques, l’enseignant amène la classe à analyser les messages sur le genre, le sexe et les relations communiqués par les publicités pour la bière et l’alcool. Les élèves analysent les messages communiqués par leurs types de médias préférés et en font une comparaison avec leur propre expérience.
Est-ce que je laisse aller les choses parce que je m’inquiète d’empirer les choses pour la personne ciblée? Certaines des choses que nous faisons lorsque nous sommes témoins de cyberintimidation, même lorsque nous tentons d’aider, peuvent empirer la situation. Il est donc toujours une bonne idée de prendre du recul et de réfléchir à la situation avant d’intervenir.
Souvent, les enfants diront qu’il ne s’agit pas d’intimidation, mais seulement d’une plaisanterie. En réalité, il s’agit de la principale raison d’être méchant en ligne. À d’autres moments, les gens minimiseront la gravité de la situation.
Ce guide contient de l’information sur la cyberintimidation et comment puis-je aider à prévenir ou à réduire l’impact de la cyberintimidation, que faire si votre enfant est victime de cyberintimidation ou est un cyberintimidateur, et comment aider votre enfant à résister à la cyberintimidation?
En plus des images de désastres naturels et de violence, le reportage des crimes haineux, un sujet assez commun aux nouvelles, peut également être troublant pour les enfants. Le fait de voir ou d’entendre dans les médias les agressions motivées par la haine et le vandalisme des maisons, des cimetières et des lieux de culte, peut susciter de la peur ou de l’anxiété chez les jeunes, en particulier s’ils appartiennent à des groupes vulnérables. Dans plusieurs cas, l’effet sera pire parce que les jeunes canadiens ne sont pas témoins de racisme et de haine que dans les actualités : près de la moitié voit du contenu haineux en ligne au moins une fois par mois et un sur six en voit tous les jours.