Mal choisis et rarement représentés - Activité
Dans cette leçon, les élèves évalueront la précision avec laquelle leurs émissions, leurs films et leurs jeux vidéo préférés reflètent la diversité culturelle de la société canadienne.
Dans cette leçon, les élèves évalueront la précision avec laquelle leurs émissions, leurs films et leurs jeux vidéo préférés reflètent la diversité culturelle de la société canadienne.
Dans le cadre de cette leçon, les élèves examineront la signification du terme « fausses nouvelles » et apprendront des faits sur le monde de l’information qui les aideront à reconnaître les sources légitimes d’information. Ils utiliseront un jeu informatique éducatif pour apprendre comment suivre une nouvelle jusqu’à sa source originale avant d’évaluer sa fiabilité, puis mettront en pratique les mêmes compétences « sur le terrain » grâce à des nouvelles réelles.
Années : 7e à 9e année
Au sujet de l’auteur : Matthew Johnson, Directeur de l’éducation, HabiloMédias
Durée : 1,5 à 2 heures, plus le temps pour l’évaluation
Cette leçon est réalisée grâce au support financier de Digital Public Square.
Des études ont démontré que de communiquer un consensus scientifique sur un sujet donné peut constituer une stratégie utile dans la lutte contre la désinformation. Par exemple, une étude menée en 2015 révèle qu’un message favorable à la vaccination est plus susceptible d’être efficace s’il met l’accent sur le consensus médical concernant la sécurité des vaccins administrés aux enfants.
On en parle énormément depuis quelque temps. Ces nouvelles qui, sous des apparences de légitimité, sont en fait ce qu’on en est venu à qualifier d’infox.
Ou Fake News pour les intimes.
L’exposition au contenu à caractère sexuel constitue l’une des principales préoccupations des parents canadiens concernant l’expérience en ligne de leurs enfants, et aussi l’une des principales préoccupations des enfants eux-mêmes. Il n’est pas difficile de comprendre pourquoi : bien qu’il n’y ait plus de sites explicitement pornographiques sur les plateformes et les sites Web préférés des enfants et que les services qu’ils préfèrent, comme TikTok et Instagram, interdisent les contenus sexuellement explicites, près du tiers des enfants canadiens ont été exposés à du contenu pornographique en ligne sans en avoir cherché.