Mal choisis et rarement représentés - Activité
Dans cette leçon, les élèves évalueront la précision avec laquelle leurs émissions, leurs films et leurs jeux vidéo préférés reflètent la diversité culturelle de la société canadienne.
Violence facilitée par la technologie : Plan de leçon sur la jurisprudence pénale
Ce plan de leçon explore la relation entre la technologie et la loi en examinant comment le droit pénal répond à la violence facilitée par la technologie (VFT). Non seulement cette leçon améliorera la compréhension des élèves quant à la signification du terme « violence », mais elle les engagera dans un dialogue sur les enjeux sociaux et juridiques ainsi que les façons dont les technologies nouvelles et émergentes affectent la relation entre la loi et la technologie. En examinant des études de cas canadiennes, et en entamant ensuite une discussion, les élèves développeront leur connaissance des répercussions juridiques de diverses formes de VFT, comme les communications harcelantes, le harcèlement criminel, l’utilisation non autorisée de systèmes informatiques, la divulgation non consensuelle d’images intimes (parfois appelée « pornographie de vengeance ») et la propagande haineuse. Les élèves utiliseront la base de données de jurisprudence pénale sur la violence facilitée par la technologie du projet eQuality pour faire des recherches sur la jurisprudence pénale canadienne récente en matière de VFT, mieux comprendre le concept de « violence » et le large éventail d’actes associés à la VFT, ainsi qu’examiner les ressources juridiques disponibles et les répercussions potentielles pour les personnes touchées.
La représentation de la communauté 2SLGBTQINA+ dans les médias
« Il est révolutionnaire pour toute personne transgenre de choisir d’être vue et d’être visible dans un monde qui nous dit que nous ne devrions pas exister. » – Laverne Cox
Pornographie - Aperçu
L’exposition au contenu à caractère sexuel constitue l’une des principales préoccupations des parents canadiens concernant l’expérience en ligne de leurs enfants, et aussi l’une des principales préoccupations des enfants eux-mêmes. Il n’est pas difficile de comprendre pourquoi : bien qu’il n’y ait plus de sites explicitement pornographiques sur les plateformes et les sites Web préférés des enfants et que les services qu’ils préfèrent, comme TikTok et Instagram, interdisent les contenus sexuellement explicites, près du tiers des enfants canadiens ont été exposés à du contenu pornographique en ligne sans en avoir cherché.
Impacts sur les jeunes
Nous savons que les jeunes accèdent à du contenu explicite en ligne. Nous en savons moins sur la façon dont cette exposition influence leurs attitudes et comportements. Si les enfants trouvent des renseignements exacts et appropriés à propos de la santé sexuelle ou de relations saines, alors il s’agit d’une chose positive, mais s’ils sont principalement exposés à la pornographie, alors ils pourraient plutôt recevoir des messages faussés sur les relations et les comportements sexuels.
Répondre à la pornographie
Étant donné la grande probabilité que les jeunes rencontrent ou cherchent du contenu pornographique en ligne à un moment donné ou à un autre, sans compter les nombreux messages qu’ils reçoivent sur le sexe par l’intermédiaire d’autres médias, il est important que les parents jouent un rôle actif dans l’utilisation d’Internet de leurs enfants et commencent à leur parler des relations saines et de la sexualité à un très jeune âge pour les aider à contextualiser et à prendre des décisions quant au contenu qu’ils voient en ligne.
Première personne
Au cours de cette activité, les élèves examinent la représentation de la diversité dans les jeux vidéo en identifiant des exemples dans ceux auxquels ils s’adonnent et en comparant leurs observations aux statistiques relatives à la diversité de la population Canadienne.
Dans le bain de la pornographie en ligne dès l’adolescence
Il y a quelques temps, je suis tombée sur un vieil article de L’Actualité qui m’a jetée par terre. Dans celui-ci, on nous apprenait que 40% des adolescents de 14-15 ans – parfois aussi tôt qu’à partir de douze ans - consommaient de la pornographie en ligne. Bien sûr, l’article date. Mais en cherchant sur le web, je suis facilement arrivée sur d’autres articles – celui de The Conversation d’avril dernier notamment – qui évoquaient la même réalité.