Vous avez vu des fausses info? Dis quelque chose!
Tu as vu une fausse info?
Que cette info soit un malentendu ou une exagération ou même un mensonge, la manière de répondre fait toute la différence.
Fais partie de la solution. Dis quelque chose!
Tu as vu une fausse info?
Que cette info soit un malentendu ou une exagération ou même un mensonge, la manière de répondre fait toute la différence.
Fais partie de la solution. Dis quelque chose!
Pour les enfants, posséder un nouveau téléphone intelligent constitue une grande responsabilité. Ils ont beaucoup à apprendre sur la façon d’utiliser cet appareil en toute sécurité, en particulier lorsqu’il s’agit de protéger leur vie privée. La bande dessinée de 12 pages s’adresse aux enfants de 8 à 10 ans.
J’ai des adolescents, mais jusqu’à tout récemment, ils n’avaient pas de comptes de médias sociaux (quoique je suppose que Discord peut compter comme tel).
Par le passé, ils ne s’y intéressaient pas vraiment, si ce n’est quelques demandes pour Snapchat et Instagram qui ont disparu presque aussi vite qu’elles ont été mentionnées. Mais récemment, mon aîné m’a de nouveau posé des questions au sujet d’Instagram et, au fil des conversations, le moment d’y acquiescer semblait logique.
Ma voix est plus forte que la haine, la plus récente ressource de HabiloMédias, utilise des outils de narration numérique et de création de mèmes pour encourager les jeunes à intervenir face à la haine en ligne.
Cette fiche d’activité imprimable présente les compétences et les concepts de base de l’éducation aux médias et peut être utilisée à la maison,
Les élèves commenceront par regarder un diaporama qui explore les stéréotypes courants de la maladie mentale et son traitement dans les médias. Ils liront une analyse préparée de la représentation de la maladie mentale dans une émission de télévision populaire auprès des adolescents, puis analyseront en petits groupes une autre œuvre médiatique de leur choix. Ils créeront également une version annotée d’une scène ou d’un extrait d’œuvre médiatique dans laquelle ils analysent et évaluent sa représentation de la maladie mentale.
Dans cette leçon, les élèves apprendront comment la couverture médiatique d’un événement ou d’une question peut être biaisée, en se concentrant sur les aspects du média et de l’industrie qui peuvent mener à un parti pris. Ils liront un article qui examine la couverture de la maladie mentale dans les médias et participeront à une activité interactive qui leur permet de composer leur propre article. Les élèves trouveront et analyseront un reportage récent sur un sujet lié à la santé mentale et rédigeront une lettre pour en faire l’éloge ou le critiquer.
Alors, comment savoir si l’on pense vraiment de façon critique?
Pose-toi trois questions :
Nous prêtons attention aux choses qui correspondent à ce que nous pensons déjà être vrai. Ce n’est pas toujours une mauvaise chose : la science, la médecine et d’autres sujets font tous l’objet d’un consensus : ce que les experts estiment être le plus vraisemblable, sur la base de toutes les preuves trouvées jusqu’à présent.
Voici trois façons de réagir lorsque tu vois de fausses informations en ligne :
Si la fausse information provient d’un ami ou d’un membre de ta famille, ou si tu crains que ta réponse ne contribue à sa diffusion, tu peux simplement poser une question du type « Es-tu sûr que c’est vrai? » ou « Cette source est-elle fiable? ».
Cela incitera la personne à réfléchir davantage à la véracité de ce qu’elle partage et montrera aux autres que tu n’es pas d’accord avec la mauvaise information.
HabiloMédias vient de terminer un autre projet de recherche qui s’intitule Plateformes et signalements : les jeunes Canadiens évaluent les efforts de lutte contre la désinformation. Ce projet a permis à des jeunes de partout au Canada d’examiner et d’évaluer les processus de signalement sur des applications de médias sociaux populaires (comme Instagram, TikTok, Twitter et YouTube). Nous voulions en savoir plus sur ce que les jeunes pensent des efforts actuels pour lutter contre la désinformation et la mésinformation, ainsi que sur les solutions qu’ils pourraient proposer pour lutter contre ce type de préjudices en ligne. Pour ce faire, nous avons animé trois groupes de discussion auprès de 36 jeunes âgés de 16 à 29 ans. Nous leur avons demandé à quelle fréquence ils voyaient de la désinformation et de la mésinformation en ligne, ce qu’ils faisaient pour y remédier, et s’ils faisaient confiance aux plateformes pour les tenir informés et assurer leur sécurité lorsqu’ils naviguent en ligne et partagent des informations.