La façon dont tu réagis à la cyberintimidation peut grandement aider
La façon dont les témoins réagissent peut faire une GRANDE différence pour mettre fin à la cyberintimidation et rendre la situation moins douloureuse.
La façon dont les témoins réagissent peut faire une GRANDE différence pour mettre fin à la cyberintimidation et rendre la situation moins douloureuse.
La façon dont les témoins réagissent peut faire une GRANDE différence pour mettre fin à la cyberintimidation et rendre la situation moins douloureuse.
Pour de nombreuses raisons, il peut être difficile de s’exprimer lorsque survient un cas de cyberintimidation, mais ce que tu dis et fais est très important.
Ne riposte pas.
Souvent, l'intimidateur cherche à te faire fâcher. En ripostant, il obtient exactement ce qu'il souhaitait. Parfois, il espère que tu te défendras pour que ce soit toi qui se fasse punir!
Nous entendons constamment dire que le partage est une bonne chose. Et grâce à la technologie, nous pouvons partager nos idées, nos opinions, nos photos et nos vidéos avec nos amis ainsi que d’autres personnes. Rappelez-vous toujours que ce que vous partagez avec vos amis peut finir par être partagé avec d’autres personnes. C’est pourquoi il est important de réfléchir avant de partager.
Il y a de nombreuses manières de définir Internet, mais je dois vous avouer que je n'avais jamais songé à « empyrée immatériel fait d'octets ». Cette formule vient d'Antonio A. Casilli, un chercheur français (il est aussi socio-anthropologue, usager, sociologue de l'informatique) qui vient de publier Les liaisons numériques aux éditions du Seuil.
J’ai des adolescents, mais jusqu’à tout récemment, ils n’avaient pas de comptes de médias sociaux (quoique je suppose que Discord peut compter comme tel).
Par le passé, ils ne s’y intéressaient pas vraiment, si ce n’est quelques demandes pour Snapchat et Instagram qui ont disparu presque aussi vite qu’elles ont été mentionnées. Mais récemment, mon aîné m’a de nouveau posé des questions au sujet d’Instagram et, au fil des conversations, le moment d’y acquiescer semblait logique.
Des études ont démontré que de communiquer un consensus scientifique sur un sujet donné peut constituer une stratégie utile dans la lutte contre la désinformation. Par exemple, une étude menée en 2015 révèle qu’un message favorable à la vaccination est plus susceptible d’être efficace s’il met l’accent sur le consensus médical concernant la sécurité des vaccins administrés aux enfants.
HabiloMédias vient de terminer un autre projet de recherche qui s’intitule Plateformes et signalements : les jeunes Canadiens évaluent les efforts de lutte contre la désinformation. Ce projet a permis à des jeunes de partout au Canada d’examiner et d’évaluer les processus de signalement sur des applications de médias sociaux populaires (comme Instagram, TikTok, Twitter et YouTube). Nous voulions en savoir plus sur ce que les jeunes pensent des efforts actuels pour lutter contre la désinformation et la mésinformation, ainsi que sur les solutions qu’ils pourraient proposer pour lutter contre ce type de préjudices en ligne. Pour ce faire, nous avons animé trois groupes de discussion auprès de 36 jeunes âgés de 16 à 29 ans. Nous leur avons demandé à quelle fréquence ils voyaient de la désinformation et de la mésinformation en ligne, ce qu’ils faisaient pour y remédier, et s’ils faisaient confiance aux plateformes pour les tenir informés et assurer leur sécurité lorsqu’ils naviguent en ligne et partagent des informations.