Regard sur la publicité concernant les aliments - Activité
Cette activité permet aux élèves du primaire de prendre conscience de l'impact des publicités sur leurs habitudes alimentaires.
Cette activité permet aux élèves du primaire de prendre conscience de l'impact des publicités sur leurs habitudes alimentaires.
Les élèves exploreront le concept des droits de la personne et apprendront comment les idées entourant ce concept ont mené à la rédaction de la Convention relative aux droits de l’enfant des Nations Unies.
Au cours de cette leçon, les élèves abordent le concept selon lequel leurs expériences de jeu peuvent compromettre leurs renseignements personnels.
« Les technologies numériques peuvent avoir à la fois des effets positifs et négatifs sur le bien- être des jeunes, en fonction de l’activité effectuée et du temps qui y est consacré. » [1]
Le temps d’écran est un facteur important, mais pas autant que l’utilisation que les jeunes en font :
Ça y est, c’est l’âge : ma fille, 10 ans, veut un compte sur Facebook. Comme plusieurs de ses amies, qui en ont déjà un depuis longtemps. Même si l’âge légal est de 13 ans... La pression est forte. La tentation est grande d’accepter à condition que « tu m’acceptes comme amie et que je vérifie tout ce que tu postes et ce que tu reçois »... Comme cette maman qui surveille les réseaux sociaux de ses enfants à partir de son téléphone cellulaire.
Qu’on se le dise!
Être parent aujourd’hui, c’est loin d’être toujours simple! Il suffit en effet de penser à toutes ces injonctions qui nous sont faites constamment, parmi lesquelles nous nous retrouvons désormais à devoir légiférer en plus sur la consommation des écrans par nos chers ados!
Mon Dieu! Je suis à un cheveu de croire que j'ai un réel problème d'alignement de mes chakras !
Je lisais récemment qu’Instagram était désormais considéré comme ayant le potentiel d’aggraver les troubles de l’apparence. Au point ou de nos jours, certains troubles allant jusqu’à la dysmorphie semblent désormais diagnostiqués de plus en plus fréquemment dans les cabinets de médecin. Un trouble qui selon cet article de Slate, toucherait dans les faits jusqu’à 1 à 2,4% de la population.