Suffragettes et dames de fer - Activité
Cette leçon met en lumière la façon dont les femmes sont représentées dans les médias.
Cette leçon met en lumière la façon dont les femmes sont représentées dans les médias.
Par cette activité, les élèves constatent et discutent de l'utilisation et de la prédominance de la sexualité dans la publicité.
Cette activité permet aux jeunes de comprendre la nature des stéréotypes en analysant l’image négative des pères à la télévision, plus particulièrement dans les comédies de situation et les messages publicitaires.
Dans cette leçon, les élèves découvriront la différence entre le débat légitime sur une question politique et les arguments fondés sur la haine.
Cette leçon vise à faire comprendre aux élèves la tension inévitable qui existe dans une société démocratique entre la liberté d’expression et le droit d’être protégé contre l’incitation à la haine. Ils apprennent également que le Canada a traité de ces questions au sein du Code criminel, de la Charte canadienne des droits et libertés, et des lois sur les droits de la personne au Canada, et discutent ensuite des différentes méthodes que les plateformes pourraient utiliser pour modérer le discours haineux.
Dans cette activité, les élèves jettent un regard critique sur les stéréotypes sexuels d’origine culturelle; ils explorent les mécanismes utilisés, dans les images et les messages contenus dans la publicité sur l’alcool, pour promouvoir et renforcer ces stéréotypes.
Au cours de cette leçon, les élèves abordent le concept selon lequel leurs expériences de jeu peuvent compromettre leurs renseignements personnels.
La plupart des jeunes sont témoins de haine et de préjudices en ligne, et la plupart d’entre eux disent qu’il est important d’intervenir. Mais que tu aies vu une vidéo contenant des théories du complot racistes ou un ami partager un mème offensant, il peut être difficile de savoir quoi faire.
La plupart des enfants sont témoins de haine et de préjugés dans des espaces comme les jeux, les réseaux sociaux et les vidéos en ligne. Ils disent également qu’ils veulent intervenir lorsqu’ils en sont témoins, mais ne savent pas quoi faire.
Je lisais récemment qu’Instagram était désormais considéré comme ayant le potentiel d’aggraver les troubles de l’apparence. Au point ou de nos jours, certains troubles allant jusqu’à la dysmorphie semblent désormais diagnostiqués de plus en plus fréquemment dans les cabinets de médecin. Un trouble qui selon cet article de Slate, toucherait dans les faits jusqu’à 1 à 2,4% de la population.