Gagner au jeu de la cybersécurité
Dans cette leçon, les élèves discutent de leurs expériences en ligne et apprennent à réduire les risques qui pourraient y être associés.
Dans cette leçon, les élèves discutent de leurs expériences en ligne et apprennent à réduire les risques qui pourraient y être associés.
Dans le cadre de cette activité, les étudiants explorent les rôles sexuels dans la publicité en choisissant une campagne de pub qu'ils ont vue et qui cible exclusivement les femmes ou les hommes.
Cette leçon permet aux élèves d’explorer et de discuter des aspects juridiques de la cyberintimidation.
La Journée sans achats, c'est le 27 novembre ! Lancée à l'initiative de la Media Fondation à Vancouver, la Journée sans achats est maintenant suivie dans le monde entier. Le mot d'ordre de la journée est de ne rien acheter et d'utiliser le temps ainsi libéré pour réfléchir à nos habitudes de consommation.
En 2007, la cyberintimidation a été le sujet non académique numéro un dans les écoles canadiennes. Intimider sur Internet est plus facile qu'intimider dans la réalité: on peut opérer anonymement, sans peur des représailles, et on ne voit pas les conséquences de ses actes sur autrui – comme l'a joliment exprimé mon fils : « On n'a jamais vu un ordinateur pleurer ! »
L'ACEI et HabiloMédias ont collaboré à la création d'une série de cinq fiches-conseils visant à instruire les Canadiens sur les problèmes de sécurité en ligne. La cinquième fiche-conseils de la série, portant sur la socialisation et les interactions en ligne, examine les problèmes qui peuvent survenir en dialoguant avec d'autres par les technologies en réseau, comme le hameçonnage et les canulars, ainsi que les stratégies pour y faire face.
Il existe une inquiétude grandissante à propos de la retouche d'images. En octobre dernier, la photo altérée de Filippa Hamilton dans une publicité de Ralph Laurencréait un petit scandale médiatique, et relançait la polémique à propos de l'incitation à l'anorexie provoquée par de telles photos. Cet incident arrivait au même moment que la proposition de loi française de la députée UMP Valérie Boyer relative à la signalisation des images retouchées : « Les photographies publicitaires de personnes dont l'apparence corporelle a été modifiée par un logiciel de traitement d'image doivent être accompagnées de la mention : “Photographie retouchée afin de modifier l'apparence corporelle d'une personne”. »
Quelqu’un m’a récemment envoyé une chronique, parue en décembre dernier dans le Globe and Mail, sur les méfaits de la pub destinée aux enfants. « Mais on n’a pas le droit de faire de la pub directement aux enfants au Canada! » lui ai-je répondu.
Les écoles sont censées être des lieux publics mais les publicitaires s’en servent de plus en plus pour cibler les jeunes. Les compagnies savent combien de temps les jeunes passent à l’école, en salle de classe, dans les activités parascolaires, ou simplement avec leurs amis, et ils ne veulent pas rater l’occasion de les atteindre dans ces endroits. Un milieu scolaire fournit un public de jeunes captifs et donne l’impression qu’il existe une approbation de la part des enseignants et du système scolaire.
La plupart des enfants aiment les jeux de rôle et adorent imiter les superhéros qu'ils voient à la télé. Cependant, plusieurs professeurs et animateurs en garderie ont dénoncé les effets néfastes sur les enfants des émissions de superhéros à la télévision. Ce genre de séries aux scènes de violence à répétition excitent les enfants et créent souvent des batailles d'enfants que le professeur ou l'animateur a beaucoup de mal à contrôler.