Haine ou débat ?
Dans cette leçon, les élèves découvriront la différence entre le débat légitime sur une question politique et les arguments fondés sur la haine.
Dans cette leçon, les élèves découvriront la différence entre le débat légitime sur une question politique et les arguments fondés sur la haine.
Cette leçon vise à faire comprendre aux élèves la tension inévitable qui existe dans une société démocratique entre la liberté d’expression et le droit d’être protégé contre l’incitation à la haine. Ils apprennent également que le Canada a traité de ces questions au sein du Code criminel, de la Charte canadienne des droits et libertés, et des lois sur les droits de la personne au Canada, et discutent ensuite des différentes méthodes que les plateformes pourraient utiliser pour modérer le discours haineux.
« Les technologies numériques peuvent avoir à la fois des effets positifs et négatifs sur le bien- être des jeunes, en fonction de l’activité effectuée et du temps qui y est consacré. » [1]
Le temps d’écran est un facteur important, mais pas autant que l’utilisation que les jeunes en font :
Qu’on se le dise!
Être parent aujourd’hui, c’est loin d’être toujours simple! Il suffit en effet de penser à toutes ces injonctions qui nous sont faites constamment, parmi lesquelles nous nous retrouvons désormais à devoir légiférer en plus sur la consommation des écrans par nos chers ados!
Le but de cette leçon est de favoriser et de développer l’art chez les jeunes sous forme d’engagement communautaire et de leur donner l’occasion de réfléchir à leurs expériences en lien avec la vie privée et l’égalité dans les espaces en réseau. Ainsi seront présentés aux élèves plusieurs scénarios relatifs à la vie privée et à l’égalité/inégalité dans les espaces en réseau et la façon dont les jeunes utilisent l’art pour revendiquer le changement. Les élèves devront développer un projet artistique (murale, collage, représentation filmée, art corporel, etc.) pour créer une œuvre qui reflétera le mieux les problématiques qui sont importantes pour eux. Puisque le niveau d’expertise et de soutien pour mettre en œuvre un projet artistique variera d’une classe à l’autre, il y a trois options pour compléter cette leçon : (i) les élèves conçoivent et créent un projet d’art; (ii) les élèves conçoivent et réalisent un projet d’art sans création proprement dite; et (iii) les élèves sont encadrés par des artistes professionnels qui les aideront à concevoir et à mettre en œuvre leur projets d’art.
Dans le cadre de cette leçon, les élèves examineront la façon dont nos propres partis pris peuvent nous empêcher d’être objectifs. Ils apprendront des façons de reconnaître et d’expliquer leurs partis pris et mettront en pratique ces connaissances en jouant à un jeu interactif en ligne. Ils apprendront comment les campagnes d’intérêt public peuvent changer les normes sociales et créeront leur propre message d’intérêt public pour promouvoir le partage éthique de renseignements en ligne.
La plupart des jeunes sont témoins de haine et de préjudices en ligne, et la plupart d’entre eux disent qu’il est important d’intervenir. Mais que tu aies vu une vidéo contenant des théories du complot racistes ou un ami partager un mème offensant, il peut être difficile de savoir quoi faire.
La plupart des enfants sont témoins de haine et de préjugés dans des espaces comme les jeux, les réseaux sociaux et les vidéos en ligne. Ils disent également qu’ils veulent intervenir lorsqu’ils en sont témoins, mais ne savent pas quoi faire.
Je lisais récemment qu’Instagram était désormais considéré comme ayant le potentiel d’aggraver les troubles de l’apparence. Au point ou de nos jours, certains troubles allant jusqu’à la dysmorphie semblent désormais diagnostiqués de plus en plus fréquemment dans les cabinets de médecin. Un trouble qui selon cet article de Slate, toucherait dans les faits jusqu’à 1 à 2,4% de la population.