10 façons de rendre le monde meilleur aujourd’hui
Rendre le monde meilleur aujourd’hui
Rendre le monde meilleur aujourd’hui
Est-ce que je laisse aller les choses parce que je m’inquiète d’empirer les choses pour la personne ciblée? Certaines des choses que nous faisons lorsque nous sommes témoins de cyberintimidation, même lorsque nous tentons d’aider, peuvent empirer la situation. Il est donc toujours une bonne idée de prendre du recul et de réfléchir à la situation avant d’intervenir.
Souvent, les enfants diront qu’il ne s’agit pas d’intimidation, mais seulement d’une plaisanterie. En réalité, il s’agit de la principale raison d’être méchant en ligne. À d’autres moments, les gens minimiseront la gravité de la situation.
En plus des images de désastres naturels et de violence, le reportage des crimes haineux, un sujet assez commun aux nouvelles, peut également être troublant pour les enfants. Le fait de voir ou d’entendre dans les médias les agressions motivées par la haine et le vandalisme des maisons, des cimetières et des lieux de culte, peut susciter de la peur ou de l’anxiété chez les jeunes, en particulier s’ils appartiennent à des groupes vulnérables. Dans plusieurs cas, l’effet sera pire parce que les jeunes canadiens ne sont pas témoins de racisme et de haine que dans les actualités : près de la moitié voit du contenu haineux en ligne au moins une fois par mois et un sur six en voit tous les jours.
Saviez-vous que près du quart des adultes ont déjà partagé une fausse nouvelle et que nous sommes moins portés à valider les nouvelles et d’autres informations qui nous sont communiquées par des gens que nous connaissons et à qui nous faisons confiance dans les médias sociaux (même s’il s’agit des principales sources d’information de bien des gens)?
« Les technologies numériques peuvent avoir à la fois des effets positifs et négatifs sur le bien- être des jeunes, en fonction de l’activité effectuée et du temps qui y est consacré. » [1]
Le temps d’écran est un facteur important, mais pas autant que l’utilisation que les jeunes en font :