Musique et Internet.
L'industrie de la musique va mal. Et c'est la faute d'Internet.
Pourquoi ? A cause du partage de fichier ( « Peer to Peer », ou encore P2P) –la bête noire des maisons de disques.
L'industrie de la musique va mal. Et c'est la faute d'Internet.
Pourquoi ? A cause du partage de fichier ( « Peer to Peer », ou encore P2P) –la bête noire des maisons de disques.
Croyez-le ou non, aucune expérience de laboratoire n'avait à ce jour étudié comment l'exposition de l'alcool à la télévision en affecte la consommation immédiate. Les chercheurs néerlandais et canadien qui viennent de publier les résultats d'une telle recherche expliquent cette lacune par le fait que « l'on s'attend à ce que l'exposition aux images télévisées s'installent avec le temps, par le biais de changement dans les associations, les cognitions, et les attentes. » (Robinson et al., 1998, cités par Engels, Hermans, van Baaren, Hollenstein et Bot, et traduit de l'anglais par moi-même).
En 2007, la cyberintimidation a été le sujet non académique numéro un dans les écoles canadiennes. Intimider sur Internet est plus facile qu'intimider dans la réalité: on peut opérer anonymement, sans peur des représailles, et on ne voit pas les conséquences de ses actes sur autrui – comme l'a joliment exprimé mon fils : « On n'a jamais vu un ordinateur pleurer ! »
L'ACEI et HabiloMédias ont collaboré à la création d'une série de cinq fiches-conseils visant à instruire les Canadiens sur les problèmes de sécurité en ligne. La cinquième fiche-conseils de la série, portant sur la socialisation et les interactions en ligne, examine les problèmes qui peuvent survenir en dialoguant avec d'autres par les technologies en réseau, comme le hameçonnage et les canulars, ainsi que les stratégies pour y faire face.
Comme parent, c’est parfois difficile, voire même impossible, de ne pas comparer nos enfants à ceux des autres. Bébés, c’était l’âge auquel ils ont fait leurs premiers pas ou prononcé leurs premiers mots.
La cyberintimidation, on en entend beaucoup parler n’est-ce pas ? Et cela, d’une façon qui bien souvent, donne l’impression au parent moyen dont je suis que ce fléau soit plus exagérément rependu qu’il ne l’est sans doute en réalité!
Lorsque vous vous inscrivez à un service sur un site Web ou que vous utilisez une application la première fois, lisez-vous attentivement la politique de confidentialité et les conditions d'utilisation? Ou, comme la plupart d'entre nous, cliquez-vous sur « J'accepte » dès que possible?
Sur Facebook, je suis toujours effarée de voir le nombre de fausses nouvelles et de rumeurs qui circulent. Et je ne parle même pas ici de ces études bidon qui sont légion sur internet! Ces nouvelles qui ont l’air d’être tout à fait scientifiques mais qui la plupart du temps, s’avèrent être du n’importe quoi.
Et si un jour l’un de vos enfants décidait de vous poursuivre pour avoir mis en ligne, sur Facebook ou ailleurs, des photos de lui sans son consentement ? Scénario de pure sciences fictions, pourrions-nous penser!