La cyberintimidation et la loi (3e à 5e secondaire) - Activité
Cette leçon permet aux élèves d’explorer et de discuter des aspects juridiques de la cyberintimidation.
Cette leçon permet aux élèves d’explorer et de discuter des aspects juridiques de la cyberintimidation.
Dans cette dernière leçon de l'unité, les élèves appliquent leurs compétences en matière de recherche et de pensée critique pour apprendre à trouver des sources légitimes en ligne pour le téléchargement et la diffusion en flux de films, de musique et de vidéos.
Dans le cadre de cette leçon, les élèves apprennent à créer des chaînes de recherche bien définies et à utiliser des outils et des techniques telles que la mise en signet, les filtres du navigateur et les préférences du moteur de recherche pour éviter le contenu indésirable.
Dans cette leçon, les élèves apprennent à authentifier de l'information en ligne en comparant des « faits » obtenus sur le site Web http://www.legorafi.fr avec des sources autorisées.
Administré par le Conseil canadien des normes de la radiotélévision,
Avec avril, voici revenue « la semaine sans télé », une semaine particulièrement suivie dans les écoles québécoises, où certaines ont même courageusement élargi le défi à dix jours, et à tous les écrans (ordinateur, Game Boy, etc…). Car force est de constater que, même si le visionnement de la télévision décline, depuis quelques années, c'est aux dépens d'autres écrans.
En 2007, la cyberintimidation a été le sujet non académique numéro un dans les écoles canadiennes. Intimider sur Internet est plus facile qu'intimider dans la réalité: on peut opérer anonymement, sans peur des représailles, et on ne voit pas les conséquences de ses actes sur autrui – comme l'a joliment exprimé mon fils : « On n'a jamais vu un ordinateur pleurer ! »
Un homme à terre baignant dans une mare de sang, un enfant couvert de poussière pleurant son désespoir, des gens hagards, et des décombres partout ; façades éventrées d'immeuble, voitures défoncées, palais présidentiel disloqué, … voilà les images qu'on pouvait voir dans tous les médias ces derniers jours – si vous avez été épargné, c'est que vous n'étiez sans doute pas sur Terre.
Au hasard du Net, je suis récemment tombée sur une série d'articles commentant la libération de l'otage franco-colombienne Ingrid Bétancourt, détenue par les Farc depuis six ans. Cette libération a embrasé la France à la manière des événements du 11 septembre : une immense émotion collective –mais qui dans le cas présent était positive. Or plusieurs articles s'interrogeaient sur le traitement médiatique de cette libération en des termes pour le moins inattendus : l'un d'entre eux allait jusqu'à arguer que si cette libération a provoqué un tel engouement public, c'est parce que l'otage était une jeune femme (comptez cela comme un premier argument), « sans défense », « frêle et menue », mais néanmoins « glamour ». La question qui vient alors à l'esprit est la suivante : est-ce réellement les médias qu'on déconstruit, ici ? N'est-ce pas plutôt la réalité qu'on reconstruit pour nous, par la lorgnette étroite des stéréotypes sexuels et sexistes ?
L'ACEI et HabiloMédias ont collaboré à la création d'une série de cinq fiches-conseils visant à instruire les Canadiens sur les problèmes de sécurité en ligne. La cinquième fiche-conseils de la série, portant sur la socialisation et les interactions en ligne, examine les problèmes qui peuvent survenir en dialoguant avec d'autres par les technologies en réseau, comme le hameçonnage et les canulars, ainsi que les stratégies pour y faire face.