Musique et Internet.
L'industrie de la musique va mal. Et c'est la faute d'Internet.
Pourquoi ? A cause du partage de fichier ( « Peer to Peer », ou encore P2P) –la bête noire des maisons de disques.
L'industrie de la musique va mal. Et c'est la faute d'Internet.
Pourquoi ? A cause du partage de fichier ( « Peer to Peer », ou encore P2P) –la bête noire des maisons de disques.
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Sur Facebook, je suis toujours effarée de voir le nombre de fausses nouvelles et de rumeurs qui circulent. Et je ne parle même pas ici de ces études bidon qui sont légion sur internet! Ces nouvelles qui ont l’air d’être tout à fait scientifiques mais qui la plupart du temps, s’avèrent être du n’importe quoi.
HabiloMédias s’associe à Facebook Canada pour aider les Canadiens et les Canadiennes à devenir mieux informés à l’ère du numérique. Les fausses informations en ligne ne sont pas un nouveau problème, mais c’est à nous de le combattre. Beaucoup d'entre nous ont besoin de meilleures compétences en recherche, en authentification, et en pensée critique pour trouver des renseignements fiables en ligne et savoir reconnaître les contenus faux ou trompeurs. C’est pourquoi nous avons établi un partenariat avec Facebook pour aider à développer les compétences en authentification de tous les Canadiens et Canadiennes.
Plus que toute autre chose dans les médias, la couverture médiatique influence les personnes et les questions qui font partie de la conversation nationale et la façon dont ces questions sont abordées[1]. Lorsqu’il est question des peuples et des communautés autochtones, les questions politiques ou constitutionnelles, les incendies de forêt, la pauvreté, les abus sexuels et la dépendance aux drogues semblent souvent constituer la seule forme de couverture médiatique accordée aux communautés autochtones. Quelques reportages sur des activités culturelles apparaissent ici et là dans les médias locaux, mais il faut être très attentif pour les trouver.
« L’autoroute des larmes » (the « Highway of Tears »), comme on l’a surnommée, est une portion d’autoroute de 800 kilomètres en Colombie-Britannique où plus d’une douzaine de jeunes femmes ont disparu depuis 1994 ; là même où près de 20 jeunes femmes avaient disparu ou avaient été assassinées entre la fin des années 1960 et le début des années 1980. Jusqu’à tout récemment, cependant, ces crimes avaient été peu médiatisés, probablement parce que la majorité des victimes étaient des femmes autochtones.
Repousser les limites de l’expression artistique a de toujours été une part intégrante de la musique populaire. Toutefois, la course aux profits pourrait également être un prétexte pour repousser la frontière de ce qui est acceptable. Au cours de cette section, nous examinerons certains des enjeux auxquels fait aujourd’hui face l’industrie musicale.
Le droit d’auteurInternet a révolutionné la façon dont nous écoutons et accédons à la musique. Le développement des MP3 a facilité le téléchargement de la musique en ligne, ce qui a mené à l’établissement de détaillants de musique en ligne tels qu’iTunes, les services de diffusion en mode continu, les stations de radio internet, ainsi que les sites et programmes de partage de fichiers.
Tout comme les reportages canadiens ne reflètent pas le multiculturalisme du Canada, la diversité raciale « en arrière-scène » des médias d’information est tout aussi disproportionnée. Près d’un quart de la population canadienne s’identifie comme un membre de ce que Statistique Canada appelle une « minorité visible » et, bien qu’une étude réalisée en 2021 ait révélé un taux de représentation similaire dans les salles de presse, 8 salles de presse sur 10 au Canada ne comptent aucun journaliste racialisé dans des rôles de direction.
L’objectivité et l’exactitude font partie des valeurs journalistiques les plus importantes. Cependant, les médias d’information canadiens ont constamment sous-représenté et stéréotypé les groupes racialisés.