Parler de sextage avec vos enfants – Fiche-conseils
Relations saines
Le sextage est plus susceptible d’avoir des conséquences négatives lorsque la personne qui envoie le sexto a été contrainte de le faire.
Le sextage est plus susceptible d’avoir des conséquences négatives lorsque la personne qui envoie le sexto a été contrainte de le faire.
On présente aux élèves le site Wikipédia, une encyclopédie virtuelle éditée par les utilisateurs, ainsi qu’un aperçu de ses forces et faiblesses comme source de recherche. On leur montre comment évaluer la fiabilité d’un article Wikipédia et tenter d’améliorer un article existant.
Dans cette leçon, les élèves appliquent les « six questions du cyberespace » aux sources d’information qu’ils trouvent en ligne. En assumant le rôle d’un élève faisant des recherches pour un projet scientifique, les élèves doivent authentifier les renseignements trouvés dans un article en ligne sur un édulcorant synthétique, l’aspartame.
Sur Facebook, je suis toujours effarée de voir le nombre de fausses nouvelles et de rumeurs qui circulent. Et je ne parle même pas ici de ces études bidon qui sont légion sur internet! Ces nouvelles qui ont l’air d’être tout à fait scientifiques mais qui la plupart du temps, s’avèrent être du n’importe quoi.
Dans cette leçon, les élèves apprennent à remettre en question les représentations médiatiques du genre, des relations et de la sexualité. Après un bref questionnaire de démystification de mythes sur les relations dans les médias et un rappel de la nature fabriquée des produits médiatiques, l’enseignant amène la classe à analyser les messages sur le genre, le sexe et les relations communiqués par les publicités pour la bière et l’alcool. Les élèves analysent les messages communiqués par leurs types de médias préférés et en font une comparaison avec leur propre expérience.
Dans cette leçon, les élèves discuteront des photos, des vidéos et des nouvelles « virales » qui sont diffusées sur les médias sociaux. On leur montre qu’il est difficile de les authentifier en n’utilisant que leur contenu et on leur présente des outils et des techniques pour évaluer leur exactitude selon le contexte afin de prendre des décisions sages et responsables sur le partage (ou non) de ce contenu avec leurs amis et leur famille.
Saviez-vous que près du quart des adultes ont déjà partagé une fausse nouvelle et que nous sommes moins portés à valider les nouvelles et d’autres informations qui nous sont communiquées par des gens que nous connaissons et à qui nous faisons confiance dans les médias sociaux (même s’il s’agit des principales sources d’information de bien des gens)?