Ressources pour les enseignants - Cyberintimidation

Une plaisanterie peut blesser quelqu’un

Souvent, les enfants diront qu’il ne s’agit pas d’intimidation, mais seulement d’une plaisanterie. En réalité, il s’agit de la principale raison d’être méchant en ligne. À d’autres moments, les gens minimiseront la gravité de la situation.

Mi-fille, mi-face guide complet pour les formateurs

L’atelier Mi-fille, mi-face

Ce guide est conçu pour appuyer les enseignants, les responsables de jeunes et les dirigeants communautaires qui animeront l’atelier Mi-fille, mi-face auprès des filles.

Agis! Comment avoir une influence positive quand tu es témoin de cyberintimidation

Dans cette leçon, les élèves discutent des raisons qui pourraient les faire hésiter à intervenir lorsqu’ils sont témoins de cyberintimidation et trouvent des façons d’aider qui n’envenimeront pas la situation. Puis, à l’aide de scénarios et de l’outil interactif Agis! Comment avoir une influence positive quand tu es témoin de cyberintimidation, ils décident de ce qu’ils feraient s’ils étaient témoins d’intimidation et partagent leurs idées afin de comprendre l’importance de bien réfléchir avant d’agir. 

Certaines réactions blessent plus que tu ne le penses

Avant d’intervenir, pose-toi les questions suivantes.

Est-ce que je laisse aller les choses parce que je m’inquiète d’empirer les choses pour la personne ciblée? Certaines des choses que nous faisons lorsque nous sommes témoins de cyberintimidation, même lorsque nous tentons d’aider, peuvent empirer la situation. Il est donc toujours une bonne idée de prendre du recul et de réfléchir à la situation avant d’intervenir.

Cyberintimidation, éducation aux médias, et classe démocratique

En 2007, la cyberintimidation a été le sujet non académique numéro un dans les écoles canadiennes. Intimider sur Internet est plus facile qu'intimider dans la réalité: on peut opérer anonymement, sans peur des représailles, et on ne voit pas les conséquences de ses actes sur autrui – comme l'a joliment exprimé mon fils : « On n'a jamais vu un ordinateur pleurer ! »