Les Fake News et ce qu'on partage en ligne
On en parle énormément depuis quelque temps. Ces nouvelles qui, sous des apparences de légitimité, sont en fait ce qu’on en est venu à qualifier d’infox.
Ou Fake News pour les intimes.
On en parle énormément depuis quelque temps. Ces nouvelles qui, sous des apparences de légitimité, sont en fait ce qu’on en est venu à qualifier d’infox.
Ou Fake News pour les intimes.
Des études ont démontré que de communiquer un consensus scientifique sur un sujet donné peut constituer une stratégie utile dans la lutte contre la désinformation. Par exemple, une étude menée en 2015 révèle qu’un message favorable à la vaccination est plus susceptible d’être efficace s’il met l’accent sur le consensus médical concernant la sécurité des vaccins administrés aux enfants.
Après deux ans de pandémie COVID-19, il est plus évident que jamais que d'attaquer la question de la désinformation sur la COVID-19 devra se faire sous tous les angles possibles. Nous avons eu besoin de voix de confiance pour transmettre des messages forts, clairs et partageables dans les médias sociaux.
L’objectivité et l’exactitude font partie des valeurs journalistiques les plus importantes. Cependant, les médias d’information canadiens ont constamment sous-représenté et stéréotypé les groupes racialisés.
Tout comme les reportages canadiens ne reflètent pas le multiculturalisme du Canada, la diversité raciale « en arrière-scène » des médias d’information est tout aussi disproportionnée. Près d’un quart de la population canadienne s’identifie comme un membre de ce que Statistique Canada appelle une « minorité visible » et, bien qu’une étude réalisée en 2021 ait révélé un taux de représentation similaire dans les salles de presse, 8 salles de presse sur 10 au Canada ne comptent aucun journaliste racialisé dans des rôles de direction.
Les groupes racialisés sont sous-représentés ou mal représentés dans les médias d’information, mais ils sont également dépeints de manière inexacte dans les médias de divertissement, qui ont tendance à renforcer les thèmes véhiculés dans les nouvelles. Bien que des changements positifs soient en train de se produire, il est important que le contenu des médias reflète de façon plus précise et plus juste la réalité du multiculturalisme canadien.
La Loi sur la radiodiffusion du Canada, modifiée pour la dernière fois en 1991, énonce les lignes directrices de l’industrie en matière de représentation de la diversité.
Les médias numériques, en particulier les réseaux sociaux et le jeu vidéo, tiennent une place toujours croissante dans la vie de nos enfants et de nos jeunes. Et même lorsqu’ils consomment d’autres médias comme la télévision, la musique et le cinéma, ils le font souvent via Internet. Par ailleurs, on retrouve une page Web, un univers virtuel, des jeux vidéo ou d’autres sous-produits numériques gravitant autour de la plupart des médias qu’ils consomment – partant du simple jouet à l’émission télévisuelle.
Les médias contribuent à bâtir notre perception du monde dans lequel nous vivons. Mais que se passe‑t‑il lorsque les représentations médiatiques omettent ou déforment la façon dont nous percevons des groupes entiers de personnes? Dans cette section, nous explorons les questions de représentation de la diversité et traitons des efforts déployés pour lutter contre les stéréotypes et promouvoir des représentations plus exactes.
L’une des grandes constatations de ce grand confinement que nous vivons tous en ce moment, c’est que si la gestion du temps d’écran familial était tout un défi pour les parents en temps normal «Avant-Covid», ce n’est devenu rien de moins qu’un challenge en temps de pandémie. À la limite, un combat peut être perdu d’avance alors qu’un retour à la norme n’est visiblement pas pour demain!