Au bonheur des publicitaires
Noël approche, c'est donc l'époque de l'année où beaucoup s'apprêtent à célébrer le Dieu de la consommation.
Noël approche, c'est donc l'époque de l'année où beaucoup s'apprêtent à célébrer le Dieu de la consommation.
Comme parent, c’est parfois difficile, voire même impossible, de ne pas comparer nos enfants à ceux des autres. Bébés, c’était l’âge auquel ils ont fait leurs premiers pas ou prononcé leurs premiers mots.
Quelqu’un m’a récemment envoyé une chronique, parue en décembre dernier dans le Globe and Mail, sur les méfaits de la pub destinée aux enfants. « Mais on n’a pas le droit de faire de la pub directement aux enfants au Canada! » lui ai-je répondu.
Ce programme de six jours permet aux élèves de créer une podcast vidéo dans le but de traiter de certains aspects du développement international.
Dans cette activité, les élèves du premier cycle du secondaire produisent en vidéo un téléjournal d'une durée de 20 minutes.
Ce module de quatre jours permet aux élèves d’examiner le rôle joué par nos vedettes qui adoptent une cause humanitaire dans le but de sensibiliser le public.
Dans cette leçon, les élèves rédigeront un article de presse en développant des « paragraphes d’introduction » et en utilisant le modèle de la « pyramide inversée ». Puis, ils disposeront de temps en classe pour choisir des sujets, faire des recherches, rédiger leur article, et procéder à la relecture et à la révision par leurs pairs de leur propre travail et de celui des autres.
Et si l’avenir des méthodes pédagogiques était lié à l’utilisation des médias sociaux ?
Pour la plupart des jeunes, Internet c’est avant tout un lieu où développer des relations et si la majorité des interactions sociales sont positives, un nombre croissant de jeunes se servent de la technologie pour intimider et harceler les autres – un phénomène qui a pour nom « cyberintimidation ».
Le classement des émissions de télévision, je me rends compte, en tant qu’agente d’évaluation aux contenus télé, que c’est un peu nébuleux pour les gens autour de moi. Aussi, il est fréquent qu’on me demande comment, dans le cadre de mon travail, je procède pour en arriver à la décision de classer une émission Général, 8+, 13+, 16+ ou même, 18+ dans certains cas plus rares.