Vaincre la distraction
Voici quelques conseils pour développer une relation plus saine avec la technologie.
Voici quelques conseils pour développer une relation plus saine avec la technologie.
Ce programme de sensibilisation du public, créé dans le cadre d'un partenariat entre HabiloMédias et l'Initiative canadienne pour l'intégrité électorale Facebook, se concentre sur l'authentification des renseignements en ligne.
La protection de la vie privée est une importante considération au chapitre des politiques et de la société.
La Semaine sans écran est un événement annuel qui se tient traditionnellement en printemp. Chaque année, des gens à travers le monde décident, de façon consciente, d’éteindre tout type d’écran pendant une semaine.
Ce plan de leçon explore la relation entre la technologie et la loi en examinant comment le droit pénal répond à la violence facilitée par la technologie (VFT). Non seulement cette leçon améliorera la compréhension des élèves quant à la signification du terme « violence », mais elle les engagera dans un dialogue sur les enjeux sociaux et juridiques ainsi que les façons dont les technologies nouvelles et émergentes affectent la relation entre la loi et la technologie. En examinant des études de cas canadiennes, et en entamant ensuite une discussion, les élèves développeront leur connaissance des répercussions juridiques de diverses formes de VFT, comme les communications harcelantes, le harcèlement criminel, l’utilisation non autorisée de systèmes informatiques, la divulgation non consensuelle d’images intimes (parfois appelée « pornographie de vengeance ») et la propagande haineuse. Les élèves utiliseront la base de données de jurisprudence pénale sur la violence facilitée par la technologie du projet eQuality pour faire des recherches sur la jurisprudence pénale canadienne récente en matière de VFT, mieux comprendre le concept de « violence » et le large éventail d’actes associés à la VFT, ainsi qu’examiner les ressources juridiques disponibles et les répercussions potentielles pour les personnes touchées.
L’objectif des Protecteurs de données est d’éduquer les enfants et les préadolescents sur les renseignements personnels et leur valeur, en plus de leur présenter des manières de gérer et protéger leurs renseignements personnels sur les sites Web et les applications qu’ils aiment.
Les recherches de HabiloMédias ont démontré que les enfants encadrés par des règles à la maison relativement à l’utilisation d’Internet sont moins susceptibles de commettre des gestes comme communiquer leurs coordonnées, visiter des sites de jeu, chercher de la pornographie en ligne et parler à des étrangers en ligne. C’est une bonne idée de s’entendre en famille sur un certain nombre de règles à respecter dans le cyberespace. C’est le meilleur moyen pour enfants et adolescents de découvrir ensemble comment s’assurer d’une utilisation prudente, sage et responsable d’Internet.
La majorité des applications et sites Web préférés des enfants génèrent des revenus grâce à la publicité ciblée, qui utilise leurs données personnelles pour sélectionner les annonces qui leur seront présentées. En outre, beaucoup vendent ces données à des courtiers de données, qui collectent des données provenant de nombreuses sources pour établir des profils détaillés des utilisateurs. Souvent, ces informations sont également partagées avec d’autres applications de la même entreprise comme Google, Instagram ou Facebook.
Voici quatre étapes simples et rapides pour trouver et partager les bonnes informations. Souvent, une seule étape suffit et la plupart d’entre elles prennent moins d’une minute à effectuer.
Parfois, une simple recherche peut révéler la vérité si un vérificateur de faits professionnel, comme AFP Factuel, a déjà fait le travail pour vous.
Je n'ai pas eu la chance d'assister au Colloque international du CEFRIO intitulé Enquête sur la génération C : Les 12-24 ans, utilisateurs extrême d'Internet et des TI . L'événement n'était pas des moindres, puisque non seulement on y dévoilait les résultats attendus de cette enquête québécoise, mais on y attendait aussi des sommités internationales comme danah boyd (c'est elle qui n'aime pas les majuscules), et d'autres du crû comme Mario Asselin, Felix Genest ou Ron Canuel. Le programme, d'autant que j'ai pu en juger de l'extérieur, semblait allier orateurs et panels de discussion en proportions stœchiométriques. Et les conditions techniques étaient à la hauteur de l'intitulé du colloque : WiFi à volonté, et salle équipée d'un écran géant diffusant en temps réel les commentaires de twitterers zélés. Pour ceux qui ne connaissent pas bien Twitter, j'explique : le CEFRIO avait mis en place pour l'événement un « hashtag », en d'autres termes une étiquette (#GenC), qui permet de rassembler tous les tweets (messages) portant ce thème en une seule liste, laquelle liste était projetée en simultané dans la salle du colloque.