Les médias diversifiés sur le plan racial et culturel – Obstacles et défis
Bien que les avantages de la diversité des médias soient considérables, le processus de création peut être parsemé d’embûches.
Bien que les avantages de la diversité des médias soient considérables, le processus de création peut être parsemé d’embûches.
Les groupes racialisés sont sous-représentés ou mal représentés dans les médias d’information, mais ils sont également dépeints de manière inexacte dans les médias de divertissement, qui ont tendance à renforcer les thèmes véhiculés dans les nouvelles. Bien que des changements positifs soient en train de se produire, il est important que le contenu des médias reflète de façon plus précise et plus juste la réalité du multiculturalisme canadien.
Bien avant que le Canada ne devienne une confédération, les minorités visibles créaient déjà leurs propres médias : la première parution du Provincial Freeman, un journal hebdomadaire écrit et publié par les Afro-Canadiens de la province du Canada-Ouest (aujourd’hui l’Ontario), a été publiée le 24 mars 1854.
Cette fiche d’activité imprimable présente les compétences et les concepts de base de l’éducation aux médias et peut être utilisée à la maison,
Les élèves commenceront par regarder un diaporama qui explore les stéréotypes courants de la maladie mentale et son traitement dans les médias. Ils liront une analyse préparée de la représentation de la maladie mentale dans une émission de télévision populaire auprès des adolescents, puis analyseront en petits groupes une autre œuvre médiatique de leur choix. Ils créeront également une version annotée d’une scène ou d’un extrait d’œuvre médiatique dans laquelle ils analysent et évaluent sa représentation de la maladie mentale.
Dans cette leçon, les élèves apprendront comment la couverture médiatique d’un événement ou d’une question peut être biaisée, en se concentrant sur les aspects du média et de l’industrie qui peuvent mener à un parti pris. Ils liront un article qui examine la couverture de la maladie mentale dans les médias et participeront à une activité interactive qui leur permet de composer leur propre article. Les élèves trouveront et analyseront un reportage récent sur un sujet lié à la santé mentale et rédigeront une lettre pour en faire l’éloge ou le critiquer.
Dans cette leçon, les élèves examineront un profil de réseau social fictif afin d’apprendre comment les plateformes en ligne recueillent des données sur les utilisateurs. Ils liront ensuite un article expliquant comment les plateformes utilisent ces données et exploreront certains problèmes que soulève cette pratique. Enfin, ils créeront un arbre conceptuel à partir de leur propre profil de données en ligne et réfléchiront sur la façon dont les données qu’ils publient peuvent être recueillies et utilisées par d’autres personnes.
Dans cette leçon, les élèves découvrent comment les applications qu’ils utilisent sont conçues pour les inciter à partager davantage d’informations, tant avec d’autres utilisateurs qu’avec les applications elles-mêmes. Ils découvrent ensuite le concept de conception persuasive ou d’« interfaces truquées » et étudient si ces dernières sont employées pour compliquer la désinscription à la collecte de données sur des applications populaires. Enfin, la classe élabore une « galerie des interfaces truquées » pour faciliter l’identification des interfaces truquées lorsqu’ils les rencontrent.
This printable activity sheet introduces basic media literacy skills and concepts and is suitable for use in homes, schools and libraries. It can be completed independently, but children will learn more if you discuss the activity with them. Younger children may need help reading the instructions and completing the activity.
J’ai des adolescents, mais jusqu’à tout récemment, ils n’avaient pas de comptes de médias sociaux (quoique je suppose que Discord peut compter comme tel).
Par le passé, ils ne s’y intéressaient pas vraiment, si ce n’est quelques demandes pour Snapchat et Instagram qui ont disparu presque aussi vite qu’elles ont été mentionnées. Mais récemment, mon aîné m’a de nouveau posé des questions au sujet d’Instagram et, au fil des conversations, le moment d’y acquiescer semblait logique.