Boire ou conduire... Fais ton choix! - Activité
L’élève étudie les composantes de plusieurs campagnes de sensibilisation sur l’alcool afin d’en évaluer l’efficacité.
L’élève étudie les composantes de plusieurs campagnes de sensibilisation sur l’alcool afin d’en évaluer l’efficacité.
Le début d'une nouvelle année scolaire approche à grands pas et de nombreux parents commencent à se demander comment ils peuvent aider leurs enfants à se débarrasser de leurs habitudes d'été liées aux médias. En plus de devoir établir de nouvelles règles pour l'utilisation des médias, les parents peuvent aussi faire face à un déluge de demandes et de questions de la part de leurs enfants au sujet de la technologie numérique, telles que les suivantes : Suis-je assez vieux avoir un téléphone cellulaire? Puis-je l'apporter à l'école? Qu'en est-il de mon iPod? Qu'en est-il de Facebook ou Twitter – tous mes amis y sont inscrits, j'en ai besoin pour leur parler de mes devoirs!
Cette activité est conçue pour faire comprendre aux élèves pourquoi l’industrie de l’alcool doit constamment renouveler sa clientèle et comment elle exploite les besoins et les désirs des jeunes pour développer précocement leur fidélité à telle ou telle marque. L’activité commence par un quiz sur le tabac et l’alcool, et se poursuit par une discussion en classe sur l’industrie de l’alcool et les « règlements » qui encadrent la publicité des produits alcoolisés au Canada. La fiche de travail La vérité sur les jeunes buveurs fournit aux élèves des statistiques récentes sur la consommation d’alcool par les jeunes et se prête à une discussion en classe sur les raisons qui peuvent pousser les jeunes à boire. Qu’est-ce que tu dis? leur permet ensuite de comparer ce que dit l’industrie de ses campagnes de publicité et ce qu’en pensent les chercheurs, éducateurs et spécialistes du développement de l’enfant et de l’adolescent. En guise de travail à la maison, les élèves établissent leurs propres politiques d’encadrement de la publicité sur les boissons alcoolisées.
Chaque automne c’est la même chose ! Novembre n’est pas sitôt arrivé que mon teint prends une indescriptible couleur un peu verdâtre et des poils sortent de partout… Au point d’en venir parfois à me demander si Grinch, ce ne serait pas moi par moment!
Se faire entendre : une trousse médias pour les jeunes a été élaborée pour aider les jeunes à comprendre le fonctionnement de l'industrie de l'information, le rôle des stéréotypes et les différentes façons d'accéder à ces médias afin de faire valoir leurs opinions et préoccupations.
En tant que parent, nous sommes bien souvent préoccupés par les contenus médiatiques que consomment nos enfants. Car bien sûr, en plus d’être distrayants, nous aimerions bien que ceux-ci ne soient pas trop violents. Et qu’au mieux, ils véhiculent des valeurs socialement acceptables à nos chers petits.
Pendant les fêtes, je me suis retrouvée à discuter avec des amies, elles aussi mamans, des comportements de nos enfants qui dès leur plus jeune âge, sont déjà concernés par leur image.
La Semaine sans écran est un événement annuel qui se tient traditionnellement en printemp. Chaque année, des gens à travers le monde décident, de façon consciente, d’éteindre tout type d’écran pendant une semaine.
Tout comme les reportages canadiens ne reflètent pas le multiculturalisme du Canada, la diversité raciale « en arrière-scène » des médias d’information est tout aussi disproportionnée. Près d’un quart de la population canadienne s’identifie comme un membre de ce que Statistique Canada appelle une « minorité visible » et, bien qu’une étude réalisée en 2021 ait révélé un taux de représentation similaire dans les salles de presse, 8 salles de presse sur 10 au Canada ne comptent aucun journaliste racialisé dans des rôles de direction.
Plus que toute autre chose dans les médias, la couverture médiatique influence les personnes et les questions qui font partie de la conversation nationale et la façon dont ces questions sont abordées[1]. Lorsqu’il est question des peuples et des communautés autochtones, les questions politiques ou constitutionnelles, les incendies de forêt, la pauvreté, les abus sexuels et la dépendance aux drogues semblent souvent constituer la seule forme de couverture médiatique accordée aux communautés autochtones. Quelques reportages sur des activités culturelles apparaissent ici et là dans les médias locaux, mais il faut être très attentif pour les trouver.