Parler de sextage avec vos enfants – Fiche-conseils
Relations saines
Le sextage est plus susceptible d’avoir des conséquences négatives lorsque la personne qui envoie le sexto a été contrainte de le faire.
Le sextage est plus susceptible d’avoir des conséquences négatives lorsque la personne qui envoie le sexto a été contrainte de le faire.
L’élève étudie les composantes de plusieurs campagnes de sensibilisation sur l’alcool afin d’en évaluer l’efficacité.
Il est naturel pour les adolescents d’être curieux quant au sexe. Les recherches de HabiloMédias suggèrent que 1 élève sur 6 de la 7e à la 11e année utilise Internet pour rechercher des renseignements sur la santé sexuelle. Globalement, 20 % des enfants de cet âge recherchent du contenu pornographique en ligne, mais un tiers d’entre eux en voient sans en chercher, et près de la moitié prennent des mesures pour ne pas en voir.
Cette activité est conçue pour faire comprendre aux élèves pourquoi l’industrie de l’alcool doit constamment renouveler sa clientèle et comment elle exploite les besoins et les désirs des jeunes pour développer précocement leur fidélité à telle ou telle marque. L’activité commence par un quiz sur le tabac et l’alcool, et se poursuit par une discussion en classe sur l’industrie de l’alcool et les « règlements » qui encadrent la publicité des produits alcoolisés au Canada. La fiche de travail La vérité sur les jeunes buveurs fournit aux élèves des statistiques récentes sur la consommation d’alcool par les jeunes et se prête à une discussion en classe sur les raisons qui peuvent pousser les jeunes à boire. Qu’est-ce que tu dis? leur permet ensuite de comparer ce que dit l’industrie de ses campagnes de publicité et ce qu’en pensent les chercheurs, éducateurs et spécialistes du développement de l’enfant et de l’adolescent. En guise de travail à la maison, les élèves établissent leurs propres politiques d’encadrement de la publicité sur les boissons alcoolisées.
Les témoins jouent un rôle essentiel lorsqu’ils assistent à des actes et à des formes d’intimidation et pourraient souffrir d’effets négatifs qui sont aussi néfastes ou pires que ceux dont souffre la victime. Parallèlement, il est prouvé que les jeunes qui sont témoins de certaines formes de cyberintimidation sont en fait plus susceptibles d’en commettre eux-mêmes plus tard.
Pour la plupart des jeunes, Internet c’est avant tout un lieu où développer des relations et si la majorité des interactions sociales sont positives, certains se servent de la technologie pour intimider et harceler les autres – un phénomène qui a pour nom « cyberintimidation ».
En ligne, la violence verbale ou psychologique est la forme la plus fréquente d’intimidation. L’intimidation sociale, une autre forme répandue – particulièrement chez les filles – comprend l’exclusion sociale et la propagation de médisances et de rumeurs.
Il est important de noter qu’il n’existe pas de profil unique du jeune qui intimide. Si certains jeunes correspondent à l’image traditionnelle de l’enfant agressif qui maîtrise mal ses impulsions, d’autres sont très sensibles aux nuances sociales et savent utiliser cette connaissance au détriment de leurs cibles, alors que d’autres peuvent être motivés simplement par l’ennui.