Production vidéo d'un téléjournal - Activité
Dans cette activité, les élèves du premier cycle du secondaire produisent en vidéo un téléjournal d'une durée de 20 minutes.
Dans cette activité, les élèves du premier cycle du secondaire produisent en vidéo un téléjournal d'une durée de 20 minutes.
Au cours de cette activité, les élèves :
Si vous vous demandez comment entreprendre la création de médias sur votre téléphone, tablette ou ordinateur, l’animation est un bon point de départ. Vous pouvez commencer à le faire comme activité familiale même lorsque les enfants sont très jeunes : ils seront rapidement capables de faire presque tout eux-mêmes.
Au cours de la leçon, les élèves découvriront l’histoire du montage cinématographique et en apprendront davantage sur l’influence de la composition des plans, de la juxtaposition des images et de l’utilisation du rythme et de la répétition en montage cinématographique sur l’impact émotionnel d’un film. Les élèves commenceront par regarder une vidéo sur les notions de base du montage cinématographique et répondre à des questions pour faciliter leur compréhension. Ensuite, ils visionneront et analyseront un diaporama montrant les principales façons dont les « éléments constitutifs » du montage cinématographique influencent l’impact émotionnel d’un film, puis ils discuteront de leur incidence sur le classement de celui-ci. Pour terminer, les élèves créeront leur propre film ou scénarimage à l’aide des techniques de montage qu’ils auront apprises afin de produire différents effets émotionnels avec la même série de prises de vue.
Cette activité de deux périodes porte sur la nature des systèmes qui servent à classer des films, des émissions de télévision et des jeux vidéo. On demande aux élèves de poser un regard critique sur les critères qui permettent de classer ces produits médiatiques, puis de prendre en compte, et de discuter, des aspects sociaux et politiques sous-jacents qui découlent de ces systèmes.
Ce module de trois jours permet aux élèves d’évaluer la couverture médiatique de certaines catastrophes naturelles et des événements qui s’ensuivent.
Au cours de cette leçon, les élèves sont initiés à l’histoire de la pratique du « blackface » (littéralement, « face noire » – une forme de représentation raciste traditionnelle dans laquelle les acteurs se maquillaient en noir pour évoquer les traits ethniques stéréotypés des Noirs aux États-Unis) et aux autres exemples d’acteurs qui proviennent de groupes majoritaires et jouent des personnages de groupes minoritaires, comme des acteurs blancs jouant des personnages asiatiques ou autochtones ainsi que des acteurs valides jouant des personnages atteints d’une incapacité.
Cette leçon permet aux élèves de mieux comprendre ce qu’est la désignation de boucs émissaires et la altérisation et de voir comment ces comportements attisent la haine et l’intolérance.
Des générations d’enfants nord-américains ont grandi en regardant des films de « cow-boys et d’Indiens » et en lisant Les Aventures de Tom Sawyer ou La Petite Maison dans la prairie. Ces films et romans populaires n’ont fait que renforcer l’idée que les autochtones appartenaient au passé, éternellement occupés à chasser le bison ou à se faire pourchasser par la cavalerie de l’armée américaine, et que le destin les avait placés pour toujours en marge de la « véritable » société. De telles impressions acquises dès le plus jeune âge sont difficiles à effacer: comme l’explique l’écrivain anishinaabe Jesse Wente, « en l’absence de représentations appropriées des peuples autochtones dans les médias, les fausses représentations deviennent la "vérité" acceptée[1] ».