Suffragettes et dames de fer - Activité
Cette leçon met en lumière la façon dont les femmes sont représentées dans les médias.
Cette leçon met en lumière la façon dont les femmes sont représentées dans les médias.
Par cette activité, les élèves constatent et discutent de l'utilisation et de la prédominance de la sexualité dans la publicité.
Cette activité permet aux jeunes de comprendre la nature des stéréotypes en analysant l’image négative des pères à la télévision, plus particulièrement dans les comédies de situation et les messages publicitaires.
Dans cette activité, les élèves jettent un regard critique sur les stéréotypes sexuels d’origine culturelle; ils explorent les mécanismes utilisés, dans les images et les messages contenus dans la publicité sur l’alcool, pour promouvoir et renforcer ces stéréotypes.
Ces exercices sont conçus pour initier les élèves aux concepts des préjugés et des partis pris qui serviront à l'analyse des nouvelles télévisées.
Cette activité permet de réaliser l'importance de la musique dans le scénario d'une histoire audio ou télévisuelle. Elle permet aussi d’éveiller les enfants au rôle de la musique dans les médias et aux émotions qu'elle suscite.
« Les technologies numériques peuvent avoir à la fois des effets positifs et négatifs sur le bien- être des jeunes, en fonction de l’activité effectuée et du temps qui y est consacré. » [1]
Le temps d’écran est un facteur important, mais pas autant que l’utilisation que les jeunes en font :
Qu’on se le dise!
Être parent aujourd’hui, c’est loin d’être toujours simple! Il suffit en effet de penser à toutes ces injonctions qui nous sont faites constamment, parmi lesquelles nous nous retrouvons désormais à devoir légiférer en plus sur la consommation des écrans par nos chers ados!
Je lisais récemment qu’Instagram était désormais considéré comme ayant le potentiel d’aggraver les troubles de l’apparence. Au point ou de nos jours, certains troubles allant jusqu’à la dysmorphie semblent désormais diagnostiqués de plus en plus fréquemment dans les cabinets de médecin. Un trouble qui selon cet article de Slate, toucherait dans les faits jusqu’à 1 à 2,4% de la population.