Musique et Internet.
L'industrie de la musique va mal. Et c'est la faute d'Internet.
Pourquoi ? A cause du partage de fichier ( « Peer to Peer », ou encore P2P) –la bête noire des maisons de disques.
L'industrie de la musique va mal. Et c'est la faute d'Internet.
Pourquoi ? A cause du partage de fichier ( « Peer to Peer », ou encore P2P) –la bête noire des maisons de disques.
Je n'ai pas eu la chance d'assister au Colloque international du CEFRIO intitulé Enquête sur la génération C : Les 12-24 ans, utilisateurs extrême d'Internet et des TI . L'événement n'était pas des moindres, puisque non seulement on y dévoilait les résultats attendus de cette enquête québécoise, mais on y attendait aussi des sommités internationales comme danah boyd (c'est elle qui n'aime pas les majuscules), et d'autres du crû comme Mario Asselin, Felix Genest ou Ron Canuel. Le programme, d'autant que j'ai pu en juger de l'extérieur, semblait allier orateurs et panels de discussion en proportions stœchiométriques. Et les conditions techniques étaient à la hauteur de l'intitulé du colloque : WiFi à volonté, et salle équipée d'un écran géant diffusant en temps réel les commentaires de twitterers zélés. Pour ceux qui ne connaissent pas bien Twitter, j'explique : le CEFRIO avait mis en place pour l'événement un « hashtag », en d'autres termes une étiquette (#GenC), qui permet de rassembler tous les tweets (messages) portant ce thème en une seule liste, laquelle liste était projetée en simultané dans la salle du colloque.
Je l'avoue, je fais plutôt partie des « optimistes d'Internet ».
Lorsque vous vous inscrivez à un service sur un site Web ou que vous utilisez une application la première fois, lisez-vous attentivement la politique de confidentialité et les conditions d'utilisation? Ou, comme la plupart d'entre nous, cliquez-vous sur « J'accepte » dès que possible?
Sur Facebook, je suis toujours effarée de voir le nombre de fausses nouvelles et de rumeurs qui circulent. Et je ne parle même pas ici de ces études bidon qui sont légion sur internet! Ces nouvelles qui ont l’air d’être tout à fait scientifiques mais qui la plupart du temps, s’avèrent être du n’importe quoi.
HabiloMédias s’associe à Facebook Canada pour aider les Canadiens et les Canadiennes à devenir mieux informés à l’ère du numérique. Les fausses informations en ligne ne sont pas un nouveau problème, mais c’est à nous de le combattre. Beaucoup d'entre nous ont besoin de meilleures compétences en recherche, en authentification, et en pensée critique pour trouver des renseignements fiables en ligne et savoir reconnaître les contenus faux ou trompeurs. C’est pourquoi nous avons établi un partenariat avec Facebook pour aider à développer les compétences en authentification de tous les Canadiens et Canadiennes.
Ça y est, c’est l’âge : ma fille, 10 ans, veut un compte sur Facebook. Comme plusieurs de ses amies, qui en ont déjà un depuis longtemps. Même si l’âge légal est de 13 ans... La pression est forte. La tentation est grande d’accepter à condition que « tu m’acceptes comme amie et que je vérifie tout ce que tu postes et ce que tu reçois »... Comme cette maman qui surveille les réseaux sociaux de ses enfants à partir de son téléphone cellulaire.
Mon Dieu! Je suis à un cheveu de croire que j'ai un réel problème d'alignement de mes chakras !
La protection des renseignements personnels et l’importance de protéger notre vie privée en ligne, j’en ai bien l’impression, c’est clairement devenu l’enjeu de l’heure dans les médias. Car ce serait incontestablement un euphémisme que de dire qu’il faudrait vivre dans une grotte perdue au fin fond des bois ces jours-ci pour ne pas avoir entendu parler du fameux scandale de Cambridge Analytica. Cette «affaire» par laquelle, tous autant que nous sommes, nous n’avons pu faire autrement que d’être confrontés à la vulnérabilité de nos données personnelles lorsqu’il est question de leur protection et de leur sécurité.