Ma voix est plus forte que la haine
Ma voix est plus forte que la haine, la plus récente ressource de HabiloMédias, utilise des outils de narration numérique et de création de mèmes pour encourager les jeunes à intervenir face à la haine en ligne.
Ma voix est plus forte que la haine, la plus récente ressource de HabiloMédias, utilise des outils de narration numérique et de création de mèmes pour encourager les jeunes à intervenir face à la haine en ligne.
« L’autoroute des larmes » (the « Highway of Tears »), comme on l’a surnommée, est une portion d’autoroute de 800 kilomètres en Colombie-Britannique où plus d’une douzaine de jeunes femmes ont disparu depuis 1994 ; là même où près de 20 jeunes femmes avaient disparu ou avaient été assassinées entre la fin des années 1960 et le début des années 1980. Jusqu’à tout récemment, cependant, ces crimes avaient été peu médiatisés, probablement parce que la majorité des victimes étaient des femmes autochtones.
Cette activité vise à conscientiser les élèves face au portrait médiatique de la violence des jeunes et à son effet sur les perceptions de la société à l'égard de la jeunesse.
Les jeunes aujourd’hui passent plus de temps devant les écrans, dès un plus jeune âge, et à partir d’une plus grande variété d’appareils que jamais auparavant, ce qui mène un plus grand nombre de parents à chercher de l’aide pour savoir comment reprendre le contrôle du temps que leurs enfants passent devant un écran.
Peu de mots ont connu une ascension aussi fulgurante que le terme « algorithme ». Autrefois réservés aux mathématiciens ou aux informaticiens, les algorithmes font aujourd’hui l’objet de mises en garde de la part d’universitaires et de militants, de protestations de la part d’élèves et d’étudiants dont la vie et la carrière futures sont de plus en plus déterminées par des décisions algorithmiques, des personnifications et des personnalisations de la part d’apprenties vedettes sur YouTube, et sont considérés comme l’élément presque magique indispensable au succès de nouvelles plateformes comme TikTok.
Dans cette leçon, les élèves exploreront les questions commerciales et éthiques entourant les reportages sur les crimes dans les journaux télévisés. Ils commenceront par discuter de leurs attitudes à l’égard de la criminalité, puis liront un document comparant les reportages sur les crimes au Canada et aux ÉtatsUnis et poursuivront la discussion sur la criminalité et le « commerce » des informations télévisées. Les élèves exploreront ensuite la façon dont les médias influencent nos perceptions de la criminalité en discutant du traitement qu’ils réservent aux différentes « vagues de crimes ».
Malgré son grand âge, le Père Noël sait rester tendance. Cette année encore, sous le sapin, il y aura immanquablement de beaux gadgets technologiques, et bien sûr un ou deux jeux vidéo –une industrie qui se rit de la crise économique : au Canada, elle a réalisé une hausse des ventes de 36 pour cent entre 2007 et 2008.
Cette leçon aide les élèves à comprendre les différentes perceptions des forces de l’ordre présentées dans les médias. Les élèves découvriront les différences entre la réalité construite par les médias et l’application de la loi dans la vie réelle, puis créeront leurs propres « émissions policières » qui donnent un portrait plus fidèle des services de police.
Au cours de cette activité, les élèves sont initiés au concept clé selon lequel les médias offrent une représentation de la réalité ; ils sont ensuite amenés à réfléchir sur la façon dont la présentation de crimes dans les nouvelles et les médias de divertissement influence notre perception des membres de groupes distincts.
La Semaine sans écran est un événement annuel qui se tient traditionnellement en printemp. Chaque année, des gens à travers le monde décident, de façon consciente, d’éteindre tout type d’écran pendant une semaine.