L’éthique du partage de renseignements en ligne - Aperçu
En réalité, la moitié d’entre nous prêtons plus attention à la personne qui a partagé une nouvelle avec nous qu’à la source d’où elle provient[1].
En réalité, la moitié d’entre nous prêtons plus attention à la personne qui a partagé une nouvelle avec nous qu’à la source d’où elle provient[1].
L’élément fondamental qui fait qu’Internet est différent des autres types de médias qui sont arrivés avant lui est l’hyperlien, lequel peut vous conduire, vous ou une personne avec laquelle vous partagez un lien, vers presque n’importe quel type de contenu imaginable.
Toutefois, il peut être délicat de le faire. Le simple fait de signaler qu’une information est fausse est non seulement peu efficace, mais peut avoir l’effet inverse et amener les gens à y croire encore plus[1]. Il est plus efficace de fournir des informations qui créent une « histoire » nouvelle et plus convaincante.
Voici quelques préjugés cognitifs fréquents dont nous devons tenir compte avant de décider de partager du contenu[1].
Cette activité permet de sensibiliser les élèves du primaire à la présence de la violence dans les sports, ainsi qu'à la façon dont ils sont influencés par cette violence.
L’atelier FAUX que ça cesse : Comment savoir ce qui est vrai sur Internet enseignera aux participants quatre mesures faciles et rapides qu’ils peuvent prendre pour déceler les fausses informations et déterminer si le contenu en ligne est vrai ou non.
Lorsqu’il est question de la représentation de divers groupes dans les médias, en particulier ceux que nous considérons comme marginalisés, les stéréotypes sont souvent au cœur des préoccupations. Mais l’élimination d’un stéréotype ne va peut-être pas assez loin, et la question peut être plus compliquée que de simplement déterminer si un personnage est représenté de manière positive ou négative. La section qui suit explore différentes approches du contenu s’adressant à la communauté 2SLGBTQINA+ en analysant diverses façons dont les médias populaires ont caractérisé les personnes 2SLGBTQINA+.
Le journalisme a été décrit comme le moteur de la démocratie[1], et les élections, de même, ont longtemps été le gagne-pain des journalistes. Cependant, la relation entre les deux a toujours été tendue. Même Thomas Jefferson, un ardent défenseur de la liberté de presse, a dit, alors qu’il était président, que rien de ce qui est publié dans les journaux n’est crédible et que la vérité elle‑même devient douteuse lorsqu’elle est présentée par un tel vecteur pollué.